les infos du jour:
Dans le monde, seul un nombre restreint de person...: Dans le monde, seul un nombre restreint de personnes est en mesure de donner une explication ou une définition exacte de ce qui est la b...
je suis journaliste. j aime aller à la rencontre des gens, communiquer avec eux et surtout partager le peu d´information que j´ ai avec les autres. Soyez tous les bienvenue sur mon blog qui est également le vôtre.
jeudi 6 décembre 2012
Dans le monde, seul un nombre restreint de personnes est en mesure de donner une explication ou une définition exacte de ce qui est la biodiversité. Alors que huit minutes suffisent pour comprendre tout ce qu'englobe cette notion de biodiversité.
Pour mieux comprendre les menaces qui pèsent sur notre planète et l'interdépendance qui existe entre les Animaux de la terre
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dimanche 2 décembre 2012
Première interview internationale de la Première Dame Sénégalaise à CNN
Dans cette interview présentée par CNN, la première Dame du Sénégal, Marième Faye Sall, se confie. Elle nous y fait une description sommaire de ce qui rythme le quotidien d' une First Lady, des avantages et inconvénients liés à ce titre. Mais aussi et surtout du comment elle, Marième Faye, en tant que première Dame du Sénégal aimerait que les sénégalaises la considèrent. La First Lady est également revenue sur les circonstances de sa rencontre avec son mari, Macky Sall, Président de la république du Sénégal depuis mars 2012.
Bon visionnage
jeudi 18 octobre 2012
Un émigré plaide pour des investissements dans les zones de départ
Le président du groupe ‘’Niokolo- transport’’, Cheikhou Souaré, a invité, mercredi à Dakar, les émigrés sénégalais à créer des entreprises dans leurs régions d’origine pour mieux '’inciter l’Etat’’ à y construire des infrastructures de base.
‘’Il ne faut plus attendre que l’Etat crée des infrastructures pour ensuite venir installer des entreprises. Mais plutôt faire l’inverse, c'est-à-dire créer des entreprises et inciter l’Etat à s’investir dans la construction d’infrastructures’’, a plaidé Cheikhou Souaré, émigré en France.
M. Souaré, originaire de Kédougou, s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture de l’atelier de partage de ‘’l’étude sur l’accompagnement des associations de ressortissants sénégalais établis en France dans la réalisation d’investissements productifs au Sénégal’’;
La rencontre est organisée par le Programme d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement (PAISD) et l’Agence française de développement (AFD).
‘’L’Etat doit créer des infrastructures mais les ressortissants sont également dans l’obligation de créer des entreprises et des emplois pour leur patrie’’, a-t-il dit.
M. Souaré a souligné que la grande partie des fonds gérés par le PAISD a été injectée dans la région de Dakar du fait de sa forte demande en investissements.
‘’Maintenant, a-t-il ajouté, il faut inciter les autres régions et leurs ressortissants établis en France à s’intéresser davantage aux projets du PAISD et d’investir dans leurs régions d’origine’’.
Pour le président de Niokolo-transport, ''ce n’est même pas dans l’intérêt du pays que tout soit concentré dans la capitale, à cause du manque d’espace''.
KOS
vendredi 12 octobre 2012
Confrontation entre Lions et Eléphants : les supporters prônent le fair-play
La rencontre entre les Lions du Sénégal et les Eléphants de la Côte d’Ivoire de
samedi doit être inscrite sous le ‘’ sceau du fair-play et de la fraternité’’, ont
souhaité vendredi à Dakar les présidents
des deux comités des supporters.
‘’ Nous souhaitons que le match décisif de demain
qui va opposer nos deux pays soit inscrit sous le sceau du fair-play, de la
fraternité et de l’amitié qui lie nos deux peuples’’, a déclaré Seydina Issa Laye
Diop le président du 12-ème Gaïndé.
Les Lions accueillent samedi
les Eléphants de Côte d’Ivoire en match retour du dernier tour des
éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2013.
Le 12-ème Gaïndé et le Comité
national des supporters des Eléphants(CNSE) ont été jumelés à cette
occasion devant le ministre des Sports, de
l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Sénégal le Général Tiapé Kassaraté et le
directeur de cabinet du ministre ivoirien des Sports Soro Benjamin.
Selon le président du 12-ème
Gaïndé, le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont ‘’ un même peuple, une même nation
avec des drapeaux différents’’.
‘’Le fair-play gagnera sur l’enjeu’’
a rassuré Seydina Issa Laye. Lui emboîtant le pas, Docteur Kouassi Parfait le président du CNSE a
affirmé que le match sera placé sur le
signe de la ‘’ sportivité et de l’amitié Sénégal-Côte d’Ivoire’’.
‘’ La Côte d’Ivoire est venue
armée de bonne humeur, de fraternité et de fair-play. Les Ivoiriens viennent avec le sourire pour
rencontrer le Sénégal.
Il faut penser à hier e t à
demain ‘’, a affirmé le directeur de
cabinet du ministre ivoirien des Sports Soro Benjamin.
Battue 2-4 à l’aller, l’équipe
du Sénégal doit gagner par au moins deux buts d’écart contre la Côte d’Ivoire
pour se qualifier en phase finale de la CAN 2013 prévue en Afrique du Sud.
KOS/BHC
jeudi 11 octobre 2012
Les taux brut et net de scolarisation des filles supérieurs à ceux des garçons (directrice Ong)
Les taux net et brut de scolarisation des filles au Sénégal ont dépassé ceux des garçons, a indiqué jeudi à Dakar Mie Takakie, directrice de la section sénégalaise de l’Organisation non gouvernementale Plan international, indiquant toutefois que ‘’ce fort taux n’est pas une garantie à la présence quotidienne des filles à l’école’’.
‘’Le taux de scolarisation des filles a dépassé celui des garçons’’, a relevé Mme Takakie, au cours d’une cérémonie de lancement officiel d’une campagne initiée par cette Ong.
Cependant, elle a fait remarquer que l'inscription des filles sur les listes en début d’année n’atteste en rien leurs ‘’présence quotidienne à l’école’’.
‘’Au Sénégal, le taux net et le taux brut de scolarisation des filles ont même dépassé celui des garçons’’, s’est-elle félicité.
Dénommée ‘’Because i am a girl’’, la campagne initiée par Plan international vise à promouvoir l’accès et le maintien des filles à l’école. Se basant sur le rapport mondial sur l’éducation des filles autour du thème ‘’Apprendre pour la vie’’, Mme Takakie a déploré le fait que les filles ne durent pas dans l’espace scolaire.
‘’Le rapport de cette année vient une fois de plus de démontrer que l‘inscription des filles au début de l’année scolaire n’est pas une garantie de leur présence quotidienne à l’école’’, a déploré la directrice de Plan Sénégal.
Une situation qui, selon lui, est due à plusieurs facteurs socio-économiques, dont le plus récurent est celui des grossesses en milieu scolaire. Au Sénégal, ‘’8,5 pour cent des filles interrogées ont identifié les enseignants comme étant responsables des grossesses de leurs amies’’, a-t-elle signalé, en citant le rapport mondial sur l’éducation des filles.
Cependant, a poursuivi Mme Takakie, 19 pour cent parmi les filles qui ont étaient interrogées dans le cadre de ce rapport affirment être victimes de violences physiques à l’école.
La directrice de Plan Sénégal a estimé qu’en dehors de ce facteur, les filles sont également des victimes de la ’’discrimination de genre’’ et de la ‘’gestion du foyer’’ qui constituent des freins ‘’ à leur maintien et leur réussite à l’école’’.
‘’Les filles ont droit à l’éducation comme les garçons. Donc, nous devons également leur donner la même chance de réussir dans le système éducatif’’, a-t-elle plaidé.
KOS
: "La peine de mort est une atteinte à la dignité humaine"
Alioune Tine, président de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), a estimé mercredi à Dakar que la peine de mort constitue une "atteinte à la dignité humaine", tout en restant "contradictoire" avec la justice.
‘’L’abolition de la peine de mort est l’une des plus importantes décisions qu’ait prise notre pays en matière de droits de l’homme. La peine de mort est archaïque, sauvage et barbare. Elle n’est pas une justice sociale, mais plutôt une vengeance, ’’ a déclaré M. Tine
Il animait une conférence-débat organisée par l’ambassade de France à Dakar, à l’occasion de la célébration de la 10-ème Journée mondiale contre la peine de mort et dont le thème porte sur ‘’l’abolition de la peine de mort’’.
‘’La valeur dissuasive de la peine de mort est illusoire et, en Afrique, sa pratique est très souvent liée à des régimes dictatoriaux’’, a relevé le défenseur des droits de l’homme selon qui ‘’tuer froidement une personne sous prétexte d’une décision de justice d’Etat ressort du sacrilège’’.
Pour sa part, Me Demba Ciré Bathily, avocat au barreau de Dakar, a affirmé que ‘’la peine de mort n’est rien d’autre qu’une forme d’assassinat d’une personne par l’Etat’’.
‘’Il n’y a aucune corrélation entre peine de mort et criminalité. La peine de mort n’est pas une réponse à la criminalité, mais plutôt une atteinte au droit et à la vie’’, a-t-il jugé.
Pour Me Assane Dioma Ndiaye, président de la Ligue sénégalaise des droits de l’Homme (LSDH) ‘’un système judiciaire, quelle que soit sa fiabilité, est source d’erreurs’’.
Selon lui, ‘’le but réel de la justice n’est pas d’ôter des vies, mais d’amener la personne incriminée à reconnaître ses délits et à se repentir’’.
‘’Juger c’est comprendre’’, a-t-il indiqué, soulignant que ‘’la marche de l’Humanité vers l’éradication de la peine de mort est irréversible’’.
Les panélistes sont d’avis que les études et analyses menées ont démontré qu’il n’y a aucune corrélation entre la peine de mort et la criminalité et que l’application de la peine capitale ne constitue en rien ‘’un moyen de dissuasion’’ mais ressortait de ‘’l’obscurantisme’’.
KOS (KOdou Sene)
jeudi 4 octobre 2012
les infos du jour: La non-implication des guérisseurs est un obstacle...
les infos du jour: La non-implication des guérisseurs est un obstacle...: Le président de l'ONG Promotion des médecines traditionnelles (PRO...
La non-implication des guérisseurs est un obstacle à la vaccination
Le président de l'ONG Promotion des
médecines traditionnelles (PROMETRA International), le docteur Erick
Gbodossou a estimé que les obstacles à l’atteinte des objectifs de
vaccination en Afrique sont en partie la conséquence de la
non-implication des guérisseurs dans les campagnes.
''Depuis nos indépendances, nos
politiques ont essayé d’harmoniser, de rectifier et de réajuster les
politiques de vaccination. Mais, on doit reconnaître que les objectifs
ne sont pas atteints'', a rappelé M. Gbodossou.
''Cette situation a poussé la plus grande fondation du monde, Bill et Melinda Gates, à s’interroger sur l'absence de bon résultats, malgré tant d’investissements en moyens financiers et personnels'', a-t-il souligné.
Selon le président de PROMETRA International, des études ont montré que 85% de la population d'Afrique subsaharienne va voir les guérisseurs, non seulement pour des ennuis de santé, mais aussi pour recevoir une éducation sanitaire.
''Nous devons [...] reconnaître que malgré des fonds importants dépensés, les politiques d’immunisation n’ont pas atteints leurs objectifs'', a affirmé Erick Gbodossou.
Il préconise la table d'une ''table ronde regroupant les bailleurs, les politiques, les chercheurs, les médecins, les guérisseurs et les journalistes, pour réfléchir sur les voies et moyens de revoir les stratégies d’immunisation pour sauver la vie des enfants''.
''Cette situation a poussé la plus grande fondation du monde, Bill et Melinda Gates, à s’interroger sur l'absence de bon résultats, malgré tant d’investissements en moyens financiers et personnels'', a-t-il souligné.
Selon le président de PROMETRA International, des études ont montré que 85% de la population d'Afrique subsaharienne va voir les guérisseurs, non seulement pour des ennuis de santé, mais aussi pour recevoir une éducation sanitaire.
''Nous devons [...] reconnaître que malgré des fonds importants dépensés, les politiques d’immunisation n’ont pas atteints leurs objectifs'', a affirmé Erick Gbodossou.
Il préconise la table d'une ''table ronde regroupant les bailleurs, les politiques, les chercheurs, les médecins, les guérisseurs et les journalistes, pour réfléchir sur les voies et moyens de revoir les stratégies d’immunisation pour sauver la vie des enfants''.
KOS
mercredi 3 octobre 2012
Madrid appuie Dakar à hauteur de près de 6 milliards
L’Espagne va apporter au Sénégal
un appui budgétaire de près de 6 milliards de francs CFA, soit 9 millions
d’euros, aux termes d’un accord de don signé par les deux parties, mercredi à
Dakar.
Le document portant sur cet
accord a été paraphé par le ministre sénégalais de l’Economie et des Finances,
Amadou Kane, et le responsable de la coopération espagnole en charge de
l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe Orientale, Alberto Virella........http://www.aps.sn/articles.php?id_article=103190
L'examen du BFEM risque de compromettre la rentrée scolaire, selon une directrice d’école
L’organisation de la seconde session de
l’examen du Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) prévue à partir de
jeudi risque de plomber la rentrée scolaire chez les élèves programmée
le même jour, a prévenu Yacine Mané, directrice de l’école primaire de
Fann Höck de Dakar.
‘’Tous les enseignants de mon école ont
été convoqués à la date du 4 (octobre) pour la surveillance des
épreuves du BFEM. C’est pour cela qu’il nous est quasi impossible de
redémarrer les cours à cette même date’’, a expliqué Yacine Mané,
interrogée par l’APS.......
Don de matériel au mensuel arabe du ministère de la Communication
Dakar, 28 sept (APS) -
Le bulletin Al-Massira (la marche, en
arabe), du département presse arabe du ministère de la Communication et
des Télécommunications, a reçu, vendredi à Dakar, un don d'équipement
d’un montant de 13 millions de francs, a constaté l’APS. ...........
mercredi 12 septembre 2012
Un journaliste accusé de viol sur une fille d'un magistrat
Le mot VIOL quant à lui ne
souffre pas de cette insuffisance. Il est aussi vieux que le mot vie. Faisant
partie de la vie quotidienne ; si on
prend en compte du nombre de fois qu’on assiste ou l’on entend parler de cet
acte tout au long de notre existence.
Qu’est ce que le viol ?
Selon l’encyclopédie
Wikipedia le viol est un « rapport sexuel imposé à quelqu'un
par la violence, obtenu par la contrainte, qui constitue pénalement un crime »
Pour
le cas du viol sur mineur, il est très facile de situer la faute et de punir le
responsable de cet acte « infra animal ».
Mais
parfois, le policier ou l’enquêteur ou encore le juge chargé d’un tel dossier doit prendre un élan, adopter une position de
neutralité avant de prononcer un jugement qui pourrait réduire à néant la vie « d’un
innocent ».
Le
dernier cas de viol en cours faisant partie des plus médiatisés de notre pays « le
Sénégal » est celui du journaliste et
propriétaire du site web sénégalais « DAKAR actu », Cheikh Yérim Seck.
Il
est accusé d’avoir abusé de AÏssata Tall, fille du magistrat Boubou Diouf Tall,
dans la chambre 9 de l’auberge « Madamel ».
Selon certains journaux de la place, la plainte a
été déposée par la famille de la présumée victime après que sa grande sœur ait constaté
un saignement chez cette dernière.
AÏssata affirme que le journaliste l’a forcée à avoir un rapport sexuel avec lui alors qu’elle
lui avait dit de n’avoir jamais eu de rapports
et ne souhaitait pas en avoir avant de se marier. Par ce que dit-elle
que dans sa famille c’est un déshonneur de perdre sa virginité avant sa nuit
nuptiale.
Quant
au journaliste, il affirme tout le contraire. Il défend la thèse selon laquelle
la fille était entièrement consentante. Il assure n’avoir jamais usé de la
force pour la contraindre à faire quelque chose qu’elle ne désirait pas.
Lequel
de ces deux dit la vérité ?
Pourquoi
Yérim aurait-il choisit une chambre d’hôtel pour rencontrer sa bien aimée ?
Est-ce
que c’était la première fois qu’ils se sont rencontrés dans ce lieu ?
Quelles
sont les raisons qui ont poussées la jeune adulte de 20 ans à attendre d’être
découverte avant de porter plainte ?
La
fille gagnera t-elle ce procès grâce à la preuve inéluctable de sa défloration
par Yérim ?
Pourquoi s’adonner à un jeu « de sexe » dangereux avec une pucelle quand
on a déjà deux femmes pour satisfaire sa libido ?
Autant
de questions qui nécessitent une réponse juste et fiable afin de distinguer la bonne version des faits.
Dans
tous les cas une grande Prudence ne serait pas de trop
mardi 11 septembre 2012
Abdoul Mbaye pour un nouveau type de citoyen
Le Premier
ministre, Abdoul Mbaye, a exprimé lundi dans son discours de présentation de sa
politique générale prononcé, à l’Assemblée nationale.son vœu de voir émerger un
nouveau type de citoyen.
« Avec ce programme,
nous souhaitons encourager l’émergence d’une Nouvelle Citoyenneté », a
notamment dit le Premier ministre.
Abdoul Mbaye veut « un
citoyen sénégalais exigeant vis-à-vis de ses gouvernants mais qui, en retour,
parce que pleinement conscient de ses devoirs, refuse de demander des
passe-droits et des privilèges, refuse de braver les interdits ; un citoyen qui
respecte les lois et l’autorité ».
Ce citoyen « respecte
et protège son environnement, car ayant compris qu’il ne fait que se respecter
lui-même.» a expliqué le Premier ministre.
Selon lui, « une
société permissive où tout est accepté, toléré, justifié ; une société qui ne
trouve plus les ressorts moraux pour s’indigner, dénoncer, sanctionner, cette
société est vouée à la déliquescence ».
« Pour construire un
Etat centré sur les valeurs, dans un Sénégal prospère, il faut que chaque
citoyen impose les mêmes exigences de vertu à ses gouvernants qu’à soi-même.» a
ajouté Abdoul Mbaye.
Le Premier ministre a
insisté sur la nécessité de préparer la relève, en inculquant aux enfants des
vertus.
« Il est indispensable de bâtir une
éthique du bien commun, de donner l’exemple à nos enfants et surtout de
promouvoir au sein des familles et à l’école les valeurs sociales de référence »,
a-t-il dit.
Le Premier ministre a assuré
que « le Gouvernement prend l’engagement de travailler toujours,
avec plus d’efficacité, plus de méthode, plus de célérité, et dans la rigueur,
pour la recherche permanente de solutions aux préoccupations quotidiennes des
sénégalais ».
lundi 23 juillet 2012
Les miracles du RAMADAN
Si je pose à un musulman aussi jeune soit-il la question de
savoir durant quel mois certains deviennent de « vrais
musulmans » ? Y aura pas lieu d’attendre une seconde pour avoir la bonne réponse. Il me répondra de manière spontanée LE
MOIS DU RAMADAN.
Et il a parfaitement raison c’est pendant le mois du ramadan
que les principes de l’Islam sont
entièrement ou partiellement
respectés à la lettre par certains.
Le constat qui se fait durant le mois du ramadan est que
presque tout le monde est « musulman
pratiquant ». Cela se révèle sur tous les plans :
D’abord venons-en à ceux qui visent directement la majorité
des musulmans : LES JEUNES
C’est à la limite incroyable comme les jeunes en général
changent durant le mois du ramadan.
Parfois on pourrait
même se demander s’il s’agit des mêmes jeunes hommes et jeunes femmes qu’on a croisés
il y a juste deux jours ou un mois auparavant. Tellement que le changement est
brusque.
Venons-en aux demoiselles : les habits chic, choc et
sexy remplacent les vêtements
décents au fond de l’armoire. Et comme
par un tour de magie le « je m’habille à la i badou » revient à la mode avec une force
extraordinaire.
La fille
voilée monte sur
le podium comme une grande Star et tous les honneurs lui sont dus. En ce moment la jolie « SEXY GIRLS »
récolte toutes les critiques et injures. N’est ce pas paradoxal?
Mais ce n’est pas
encore fini. En plus des vendeurs de shop les rumeurs et médisances souffrent
également durant ce mois béni. Plus personne ne s’intéresse à eux ou presque.
En ce temps les heures de prières se réjouissent. Plus besoin
d’entendre l’appel à la prière avant de voir des nattes étalées.
Du côté des garçons toi-même tu sais…………
vendredi 6 juillet 2012
L’homme est vraiment un être
difficile à comprendre. Dans notre société comme dans toute autre d’ailleurs,
existe des hommes qui ne supportent pas
de voir des gens qui s’entendent. Je ne saurais dire pourquoi. Serait-ce leur
nature ? Un problème psychologique chez eux ? Ou simplement dû au fait que la bonne entente entre deux
personnes les dérange ?
Dans la vie il arrive que l’on
trouve une personne avec qui on est prêt à partager tous nos secrets. Parfois,
on se demande le pourquoi de cette confiance aveugle envers cette personne que
l’on connait à peine et qui, pourtant, n’est ni un membre de notre famille, ni
un(e) ami(e) de longue date.
En plus de l’étonnement qui nous tourmente,
viennent s’ajouter les rumeurs et médisances des « jaloux ».
Ces derniers mettent une ingéniosité et une capacité d’imagination et de
créativité « extraordinaire »
dans leur manière d’inventer des histoires fictives dont la seule et unique
motivation est de mettre du sable dans le gâteau. Pour ne pas dire séparer
vaille que vaille ces deux êtres unis par le pouvoir de l’amitié et de la
confiance.
Il faut le reconnaître la
plupart du temps ils arrivent à leur fin. Surtout quant il s’agit d’une amitié
entre des individus de sexe opposé (amitié entre fille et garçon).
Extraordinairement, ils
peuvent susciter une certaine admiration démoniaque de notre part. Dû au fait
de la « perfection » et de
la « beauté » de leur tissu
de mensonge. Ils ont toujours des arguments bétons pour soutenir leur thèse de séparatiste
et de diable incarné.
Dans les moindres détails, comme
des « journalistes » du mensonge ils respectent à la lettre les 5 W
de base c'est-à-dire : à Qui le
dire, Quoi lui dire, Quand le lui dire, Où le lui dire, Comment le lui dire et
même le Pourquoi le lui dire, qui est facultative. Mais comme vous le savez
pour le méchant aucun argument n’est
à négliger dans le discours qui divise.
jeudi 28 juin 2012
Loi sur la cryptologie
Motifs
Seule
la confiance des utilisateurs peut favoriser l’essor de la société de
l’information. Et pour cela, une bonne maîtrise des systèmes d’information et
des systèmes de données s’impose.
Jusque
là, la cryptologie est l’unique solution technologie assurant la protection des
échanges et les systèmes d’information contre de mauvais agissements. Elle
veille sur le respect des principes de confidentialité.
Au
Sénégal, elle s’applique dans de nombreux secteurs : l’administration, les
télécommunications et l’informatique.
Cependant,
d’importants aspects comme la fourniture, le transfert et les conditions
d’homologation en rapport avec l’importation, l’exportation ou la prestation de
cryptologie ne sont pas inclus dans l’article 37 de la loi 2001-15 du 27
décembre 2001 portant le code des télécommunications qui prévoit la cryptologie.
La
négligence de ces aspects restreint
l’application de l’article 67 du même code. Cette dernière définit les sanctions à infliger en
cas de non respect des règles de la cryptologie.
C’est
pourquoi, l’abrogation de ces dispositions et la mise en place de la loi sur la
cryptologie sont envisagées afin de corriger ces failles.
Le
but de ce projet de loi de 8 chapitres est de régir les conditions
d’utilisation de ces aspects omis.
DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Les 3 articles
de ce chapitre traitent des objectifs de
cette présente loi. Il y est précisé qu’elle ne s’applique pas dans le domaine
de la diplomatie et consulaire. Ils y sont données les définitions des mots et
expressions telles que : accès dérobé, activité de cryptologie selon la
loi…
COMMISSION
NATIONALE DE CRYPTOLOGIE
Ce chapitre
compte 14 articles. Il souligne l’existence d’une commission nationale de
cryptologie rattachée au Secrétariat Général de la République. Il présente
l’organigramme de ladite commission, ses domaines d’interventions et les critères
sur la base desquels ses membres sont
sélectionnés.
v RÉGIMES JURIDIQUES DES MOYENS DE PRESTATIONS DE CRYPTOLOGIE
Composé de 4 articles, ce chapitre réaffirme la
liberté d’utiliser les moyens de prestations de cryptologie tant que celle-ci
ne viole pas les règles de confidentialité.
v AGREMENT
DES ORGANISMES EXERCANT DES PRESTATIONS DE CRYPTOLOGIE
Les 2 articles de ce chapitre stipulent que les
organismes exerçant des prestations de cryptologie doivent avoir l’avale de la
commission nationale de cryptologie. Et il appartient à ce dernier de fixer les
conditions et obligations qu’ils sont tenues de respecter.
v RESPONSABILITE
DES PRESTATAIRES DE SERVICES DE CRYPTOLOGIE
Il est dit dans l’unique article de ce chapitre que
les prestataires de services sont responsables de tous les préjudices que
pourraient subir leurs clients (en règle). Par contre pour les non autorisés,
ils écartent toute responsabilité.
v LES
SANCTIONS ADMINISTRATIVES
En cas de non respect des règles fixées, l’autorisation
leur est retirée. Le retrait peut être provisoire ou définitif. Des amendes
sont également prévues et la somme
dépend la gravité des manquements.
v SANTIONS PÉNALES
Elles viennent compléter les sanctions
administratives .
v DISPOSITIONS
TRANSITOIRES ET FINALES
Les prestataires de services de cryptologie sont
appelés à renouveler leur autorisation tous les six mois au prés de la
commission nationale de cryptologie. Au cas contraire s’appliquent les articles
6 et 62.
mercredi 27 juin 2012
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