mercredi 12 septembre 2012

Un journaliste accusé de viol sur une fille d'un magistrat









Contrairement  à certains mots comme corruption, impunité, malfrat … qui dans certaines langues trouver leurs équivalents  serait comparable  à chercher une aiguille dans un sac de foin, dû à l’inexistence de ces pratiques ou à leur ignorance dans ces sociétés.

Le mot VIOL quant à lui ne souffre pas de cette insuffisance. Il est aussi vieux que le mot vie. Faisant partie  de la vie quotidienne ; si on prend en compte du nombre de fois qu’on assiste ou l’on entend parler de cet acte  tout au long de notre existence.

Qu’est ce que le viol ?

Selon l’encyclopédie Wikipedia le viol est un  « rapport sexuel imposé à quelqu'un par la violence, obtenu par la contrainte, qui constitue pénalement un crime »

Pour le cas du viol sur mineur, il est très facile de situer la faute et de punir le responsable de cet acte « infra animal ».

Mais parfois, le policier ou l’enquêteur ou encore le juge chargé d’un tel dossier  doit prendre un élan, adopter une position de neutralité avant de prononcer un jugement qui pourrait réduire à néant la vie « d’un innocent ».

Le dernier cas de viol en cours faisant partie des  plus médiatisés de notre pays  «  le Sénégal » est celui  du journaliste et propriétaire du site web sénégalais « DAKAR actu », Cheikh  Yérim Seck.

Il est accusé d’avoir abusé de AÏssata Tall, fille du magistrat Boubou Diouf Tall, dans la chambre 9 de l’auberge « Madamel ».

 Selon  certains journaux de la place, la plainte a été déposée par la famille de la présumée  victime après que sa grande sœur ait constaté un saignement chez cette dernière.

 AÏssata  affirme que le journaliste l’a forcée à  avoir un rapport sexuel avec lui alors qu’elle lui avait dit de n’avoir jamais eu de rapports  et ne souhaitait pas en avoir avant de se marier. Par ce que dit-elle que dans sa famille c’est un déshonneur de perdre sa virginité avant sa nuit nuptiale.

Quant au journaliste, il affirme tout le contraire. Il défend la thèse selon laquelle la fille était entièrement consentante. Il assure n’avoir jamais usé de la force pour la contraindre à faire quelque chose qu’elle ne désirait pas.  

Lequel de ces deux dit la vérité ?

Pourquoi Yérim aurait-il choisit une chambre d’hôtel pour rencontrer sa bien aimée ?

Est-ce que c’était la première fois qu’ils se sont rencontrés  dans ce lieu ?

Quelles sont les raisons qui ont poussées la jeune adulte de 20 ans à attendre d’être découverte avant de porter plainte ?

La fille gagnera t-elle ce procès grâce à la preuve inéluctable de sa défloration par Yérim ?

Pourquoi s’adonner à un jeu « de sexe » dangereux avec une pucelle quand on a déjà deux femmes pour satisfaire sa libido ?

Autant de questions qui nécessitent une réponse juste et fiable afin de distinguer  la bonne version des faits.

Dans tous les cas une grande Prudence ne serait pas de trop






  

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