lundi 28 octobre 2013

Intervencion de Kodou Sene en la Ventana Programa SER 'La unidad de Vigilancia lingüística' y Aprender Español.

jeudi 24 octobre 2013

Six jeunes africains initiés à la critique cinématographique



10ème  édition du festival de cinéma africain de Cordoba

Six jeunes africains initiés à la critique cinématographique
Trois jeunes sénégalais et trois autres venant du Maroc ont bénéficié de quatre jours de cours d’initiation en critique cinématographique. L’activité s’inscrit dans le cadre de la célébration de la 10ème édition du festival de cinéma africain, tenu du 11 au 19 octobre 2013 à Cordoba, ville située dans la communauté autonome d’Andalousie en Espagne.

L’introduction d’un atelier de critique de cinéma  a été l’innovation majeure de cette 10ème édition du festival de cinéma africain de Cordoba. Pour la première fois, des jeunes africains ont été conviés auprès de leurs camarades espagnols à un atelier de ce genre, grâce au partenariat avec  ACERCA, un programme œuvrant pour le développement du secteur culturel de l’Agence Espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID). Des cours théoriques et pratiques de critique cinématographique ont été dispensés aux jeunes tout au long de l’atelier. Le but était de susciter la réflexion sur le sens des images afin de  proportionner les notions basiques utiles pour l’interprétation du texte cinématographique et sa relation avec le monde actuel. Alfonso Crespo, théoricien et critique de cinéma a été chargé de dispenser les cours aux jeunes néophytes sous la coordination de Federico Olivieri, gestionnaire culturel, chercheur et journaliste espagnol. Des exposés suivis de débat ont été organisés au cours de l’atelier de critique de cinéma, avec la participation de figures marquantes dans le domaine de la critique telle : Beatriz Leal Riesco, historienne d’art spécialisée en cinéma, initiatrice de New York African Festival ; Olivier Barlet, auteur spécialisé en cinéma africain, critique cinématographique et directeur d’AFRICULTURES.

Kodou Sene

Le Cinéma pour débarrasser les Espagnols des stéréotypes envers les africains.




10ème Festival de cinéma africain de Cordoba

Le Cinéma pour débarrasser les Espagnols des stéréotypes envers les africains. 





Cela fait maintenant dix années que le festival de cinéma africain de Cordoba œuvre pour la promotion du cinéma africain. 
  
Selon la directrice dudit festival, Mane Cisneros, il est fondamental que les   jeunes andalousites connaissent les autres réalités de l’Afrique pour leur permettre de se défaire des stéréotypes véhiculés quotidiennement à travers les médias de masse. Pour elle, le cinéma reste l’un des meilleurs moyens pouvant permettre à la jeunesse andalousite de découvrir la riche variété culturelle du continent voisin.  L’édition de 2013 n’a pas dérogé à cette logique. Soixante dix  films de quelques trente deux cinéastes africains de nationalités différentes ont été présentés au public espagnol. Initié en 2003, le festival organisé auparavant à Tarifa (Espagne) a élu la ville de Cordoba, pour la deuxième année consécutive, pour y dérouler ses activités.  La Sénégalaise, Maty Diop, comme tant d’autres Hommes du cinéma africain, a vu son film documentaire  « Mille Soleils » primé devant un public cordouan qui en voulait encore.
Kodou Sene

mercredi 16 octobre 2013



CINEMA

Le FCAT dispense un cours de critique de cinéma à 25 étudiants sénégalais, marocains et espagnols

0
Le FCAT dispense un cours de critique de cinéma à 25 étudiants sénégalais, marocains et espagnols
Le Festival de cinéma africain de Cordoue (FCAT) n'est pas seulement une vitrine pour les films africains ; c'est aussi un point de rencontre multiculturel et un espace pour la formation. C'est dans cet esprit que le Festival inaugure aujourd'hui un cours d'introduction à la théorie et la pratique de la critique cinématographique ouvert à 25 élèves espagnols, sénégalais et marocains. Le cours se déroule du 14 au 18 octobre sous la direction académique du théoricien et critique cinématographique espagnol Alfonso Crespo. Chaque jour, des experts cinéphiles tels que Olivier Barlet (Africultures), Beatriz Leal (African Film Festival Inc. NYC), Francisco Algarin (Lumière) et Francisco Benavente (Université Pompeu Fabra de Barcelone), dispenseront des cours spécialisés.
En mettant l’accent sur les images, les sons, les modèles et les espaces, le cours fournira aux élèves des connaissances sur le langage cinématographique qui leur permettront de développer davantage leur regard critique. De plus, les étudiants pourront mettre en œuvre les compétences acquises pendant le cours en écrivant les critiques d’un nombre de films programmés au FCAT 2013. Entre autres activités pratiques, les élèves interagiront également avec le service médias du festival.
Cette initiative vise renforcer la tradition critique sur le continent. En outre, elle contribue à inscrire les nouvelles générations de critiques de cinéma africains, notamment ceux du Maroc et du Sénégal, dans la critique internationale et dans le réseau international du cinéma africain. Déjà aujourd'hui, suite à l’inauguration du cours, les étudiants ont assisté aux ‘Apéros du Cinéma’, où ils ont eu l’occasion de connaître Mungai Kiroga, scénariste de Something Necessary, Arya Lalloo et Shannon Walsh, réalisatrices de Jeppe on a Friday, Kamau Wa N'Dung'u, réalisateur de Ndoto Za Elibidi et le célèbre William M'baye, réalisateur de Président Dia.......http://www.alwihdainfo.com/Le-FCAT-dispense-un-cours-de-critique-de-cinema-a-25-etudiants-senegalais-marocains-et-espagnols_a8435.html

mardi 1 octobre 2013

Jamais les drogues n’ont été si peu chères et si pures

Jamais les drogues n’ont été si peu chères et si pures selon une étude réalisée par plusieurs instances internationales. Le signe que les autorités mondiales "ont perdu la guerre" contre les narcotrafiquants, selon les auteurs du rapport.

 
Ils ne transigent ni sur la qualité ni sur la quantité et pourtant, en à peine 20 ans, les narcotrafiquants sont parvenus à rendre les stupéfiants plus accessibles que jamais. Selon une étude publiée mardi 30 septembre par le "British Medical Journal", les drogues “douces” comme “dures” sont même de plus en plus pures (exception faite de la cocaïne en poudre) et de moins en moins chères pour les consommateurs. En Europe, par exemple, les prix des opiacés, dont l’héroïne, et de la cocaïne ont respectivement baissé de 74 % et 51 % entre 1990 et 2010, rapporte l’étude.
Parallèlement, des quantités de drogues toujours plus importantes sont saisies chaque année à travers le monde. Pour le seul territoire américain, les saisies effectuées entre 1990 et 2010 ont augmenté de 465 % pour le cannabis et de 49 % pour l’héroïne. Des chiffres qui, selon l’étude, ne démontrent pas l’efficacité des autorités mondiales mais plutôt leur incapacité criante à lutter contre le trafic de stupéfiants et leur impuissance face à des réseaux organisés et puissants. Une estimation récente des Nations unies indique d’ailleurs que le marché de la drogue illicite pèse a minima 350 milliards de dollars par an (260 milliards d’euros).
La dépénalisation comme nouvelle stratégie
Les chercheurs, qui se sont basés sur les données de sept observatoires internationaux reconnus, affirment qu’au vu de ces chiffres édifiants, les autorités mondiales ont officiellement “perdu la guerre contre la drogue.” Pour remédier à cet échec, le rapport préconise aux gouvernements..........http://www.france24.com/fr/20131001-trafic-drogues-echec-cuisant-autorites-mondiales-depuis-1990-cocaine-heroine-cannabis-consommation-purete