je suis journaliste. j aime aller à la rencontre des gens, communiquer avec eux et surtout partager le peu d´information que j´ ai avec les autres. Soyez tous les bienvenue sur mon blog qui est également le vôtre.
mardi 9 décembre 2014
dimanche 30 novembre 2014
Les moments forts du 15 sommet de la francophonie de DAKAR
L´équipe des jeunes diplômés du Centre d´études des sciences et techniques de l´information ( CESTI ), dont je fais parti, a tenu à faire un magazine, quotidien des différentes activités déroulées lors de ce 15 sommet de la francophonie de Dakar, pour vous tous qui n´avez pas pu faire le déplacement jusqu’à Dakar.
Tout le plaisir est pour moi de vous offrir les 4 numéro de notre magazine ( le 5 et 6 sont à suivre) . Vos critiques et suggestions nous seront d´une grande utilité.
Tout le plaisir est pour moi de vous offrir les 4 numéro de notre magazine ( le 5 et 6 sont à suivre) . Vos critiques et suggestions nous seront d´une grande utilité.
Michaëlle Jean : La Nouvelle secrétaire générale de l´Organisation internationale de le francophonie ( OIF )
La Canadienne d'origine haïtienne Michaëlle Jean succède à Abdou Diouf à la tête de l´Organisation internationale de la francophonie après 12 ans de magistère.
La candidate du Canada a été nommée nouvelle secrétaire générale de l´OIF par consensus. 53 pays membres, de plein droit de l'OIF, ont dit "oui " pour la porter a la tête de cette grande institution qui réunit 77 pays avec quelques 274 millions de citoyens francophones.
Michaëlle Jean sort ainsi vainqueure davantb Jean-Claude De L´Estrac de l´ìle Maurice, Pierre Buyoya du Burundi, Henri Lopes du Congo et Augustin Nze Nfumu de la Guinée Equatoriale.
samedi 22 novembre 2014
Les nouveaux supports d’information ne sont pas une menace pour les médias traditionnels
Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, vendredi 21 novembre 2014, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaissait le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, Yahoo…. » S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaître », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
Les nouveaux supports d’information
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels
Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaisser le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, yahoo…. »
S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaitre », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
vendredi 21 novembre 2014
"On ne veut pas que le journal papier disparaisse"
Youssou Ndour a prononcé la
conférence inaugurale de la 43ème édition des assises de l’Union de la presse
francophone, ce jeudi 20 novembre 2014. Le lead vocale du « Super étoile » a saisi l’occasion pour parler des maux
qui gangrènent la presse en général. Le patron du Groupe Futur Média (GFM) a
milité de nouvelles approches afin d’assurer
un futur prometteur au métier de journaliste.
L’artiste
Sénégalais de renommée internationale, Youssou Ndour, n’est pas passé par
quatre chemins pour exprimer son opinion sur le thème « Jeunes et médias : les défis du
numérique » ; thème principal de la 43ème édition des assises de
l’Union de la presse francophone qui se déroulent actuellement à Dakar.
Le
patron de GFM a estimé qu’il est, aujourd’hui, nécessaire d’apporter de fortes mutations dans
l’approche du métier de journaliste, au risque d’assister à sa disparition.
« On ne veut pas que le journal papier disparaisse comme le disque vinyle a
disparu dans la musique à cause du numérique »
a déclaré Youssou Ndour.
Le
lead vocal du « super étoile »,
sa bande musicale, a salué l’initiative
de la tenue des premières assises du
renouveau de l’Union de la presse
francophone ( Upf) dans la capitale Sénégalaise. Il a exhorté cette dernière à mettre
un accent particulier sur la formation.
« Les associations de presse
comme l’Upf doivent aider leurs membres et privilégier la formation des jeunes
journalistes pour un plus grand respect des règles d’éthique et de déontologie
qui régissent ce métier ».
Cette
formation est d’autant plus importante dans la mesure où, de l’avis de Youssou
Ndour, on fait, actuellement, face à une bataille des contenus avec internet
et les technologies de l’information et
de la communication.
« Il faut retourner les
obstacles pour en faire des richesses » a suggéré le
patron du groupe futur média.
Actuellement,
Youssou Ndour est l’un des plus importants patrons de presse au Sénégal. Son
entreprise (le Groupe Futur Média) compte plus de six cents employés.
Kodou SENE
mercredi 19 novembre 2014
43EME ASSISES DE LA PRESSE FRANCOPHONE: Un lieu de réflexion de d’échanges d’expériences journalistiques
De
grandes figures du journalisme africain et mondial se sont réunies à Dakar pour
assister à la 43ème édition
des assises de l’union de la presse francophone (UPF). La rencontre s’est ouverte aujourd’hui, mercredi 18 novembre 2014, au
King Fahd Palace.
Tombé
dans la léthargie depuis quelques années, l’Union de la presse francophone (Upf) renaît.
Les assises de la presse francophone
redémarrent ses activités. La capitale sénégalaise (Dakar) abrite, du 19 au 22 novembre 2014, la 43ème
édition des assises de l’UPF. Une
rencontre symbolique qui marque le renouveau de l’union de la presse
francophone où sont attendus quelques trois cent participants.
« Le lieu et les dates des assises n’ont pas
été choisies au hasard » a confié le secrétaire général
international de l’UPF, Jean Kouchner.
Selon ce dernier, Dakar est le lieu adéquat
pour la tenue de ces assises de l’UPF du fait que la capitale sénégalaise est celle de
toute la francophonie pour cette année 2014.
Le
secrétaire général international de
l’UPF estime que la tenue de ces assises à Dakar est un message fort lancé à l’endroit
de tous les journalistes francophones ; afin que ces derniers
apportent leurs contributions dans ce
renouveau de l’UPF.
A
l’issue de la rencontre, « il sera
proposé aux assises de l’union de la presse francophone de rédiger un texte qui
sera par la suite soumis au président de la République, Monsieur Macky Sall pour qu’il le porte au
XVème sommet de la francophonie (qui se tiendra à Dakar du 29 au 30
novembre) » a assuré
monsieur Kouchner.
Un
acte qui selon le journaliste collaborateur de France Télévision va permettre d’élargir les actions de l’UPF à
travers le monde entier.
Les
assises de la presse francophone ont un représentant dans les trente-cinq pays
membres de l’organisation. Cependant, c’est au siège central de la structure
qui se trouve à Paris que l’essentiel
des décisions concernant l’association étaient prises ; mais aujourd’hui,
l’UPF a décidé de rompre avec cette orthodoxie.
« Il ne sera plus question de rapport
France-Afrique au sien de l’organisation » a affirmé le secrétaire
général international de l’UPF, Jean
Kouchner.
« Les sections décident désormais de ce
qu’elles vont faire » a souligné monsieur Kouchner. Selon lui, le principal
souci de l’UPF actuellement est de savoir comment faire pour aider les
sections.
Première association internationale de
journaliste, l’UPF compte deux cent cinquante adhérents dans le monde. Les dernières
assises de l’union de la presse francophone remontent en juin 2010 à Rabat au Maroc.
Kodou SENE
jeudi 30 octobre 2014
Blaise Compaoré ENCORE un président AFRICAIN qui ratte sa sortie!
Le projet de loi annulé
Ce jeudi matin, les députés devaient examiner le projet de loi portant sur une révision de de l'article 37 de la Constitutionqui aurait permis la prolongation du mandat de Blaise Compaoré. Mais après l'incendie du Parlement, Alain Edouard Traoré, le porte-parole du gouvernement, a annoncé l'annulation du projet.
L'Assemblée nationale saccagée
A Ouagadougou, plus d'un millier de jeunes ont réussi à pénétrer dans le bâtiment du Parlement et à le saccager, aux cris de "Libérez Kosyam", le nom du palais présidentiel. Aux abords de la présidence, plus au sud dans la ville, plusieurs centaines de manifestants faisaient face aux soldats de la garde présidentielle, qu'ils tenaient à distance. Certains soldats ont effectué des tirs de sommation au-dessus des protestataires...
Née sans jambes, abandonnée par ses parents, elle devient championne olympique
Jennifer Bricker est née sans jambes. Elle a été abandonnée par ses géniteurs à bas age à cause de sa malformation. Sharon et Gerald Bricker l´ont retrouvé et adopté par la suite. Le couple a décidé de l'éduquer au meme pied égalité que ses propres fils. Dans sa nouvelle famille, il était interdit de prononcer les mots `` je ne peux pas``. Regarde la vidéo et découvre la suite de cette rocambolesque histoire...
Jennifer Bricker nació sin piernas, y sus padres biológicos la abandonaron. Fue entonces cuando fue adoptada por Sharon y Gerald Bricker, quienes decidieron que criarla al igual que a todos todos sus hijos. Le dijeron que las únicas palabras que no estaban permitidas decir nunca era “no puedo”. Mira el video y descubre lo que paso…
vendredi 17 octobre 2014
La Radiotélévision Sénégalaise lance le 1er grand concours national de productions audiovisuelles
La Radiotélévision Sénégalaise lance le 1er grand concours national de productions audiovisuelles. Ce concours est ouvert à tous les sénégalais passionnés de théâtre et de cinéma évoluant en solo ou regroupés en associations culturelles et sportives, troupes ou compagnies théâtrales.
Le concours national est doté de cinq prix :
§ 1er Prix 2 000 000 de FCFA
§ 2ème Prix 1000 000 de FCFA
§ 3ème Prix 750 000 de FCFA
§ Prix du Public 250 000 FCFA
§ Prix d’Encouragement 250 000 FCFA
En outre, les œuvres jugées comme étant les meilleures par le comité restreint de sélection seront soumises à l’appréciation du publicà travers leur diffusion en prime time sur les antennes de la RTS 1 et 2 en vue du voting.
Une fois les films sélectionnés, le Jury composé de divers professionnels de l’audiovisuel et du milieu artistique et théâtral sénégalais choisira les œuvres finalistes. Le comité restreint de sélection des films et le Jury procéderont de façon parfaitement objective et professionnelle.
Les délibérations auront lieu au cours d’une grande soirée dénommée « Ça tourne AWARDS » qui marquera la finale du Concours.
L’objectif de ce concours est d’encourager les acteurs du théâtre et du cinéma à vivre leur passion et à donner une meilleure visibilité de leurs talents sur la télévision nationale. La diversité et la pertinence des thèmes à développer dans les scenarii, favoriseront la promotion des valeurs socio culturelles positives et citoyennes, la sensibilisation et la communication sociale pour le changement de comportement.
Réglement concours national téléchargeable sur ce lien : Final concept concours Films
Spot concours national de production audiovisuelles sur la RTS « Ça tourne!»
L´endoctrinement et manipulation de l´esprit des enfants?
Prenez le temps de lire cette vidéo.
Elle ne vous laissera pas indifférent (e).
Vous pourriez juger par vous même de la véracité ou de la simple invention décrite dans ce contenu de dix minutes.
Elle ne vous laissera pas indifférent (e).
Vous pourriez juger par vous même de la véracité ou de la simple invention décrite dans ce contenu de dix minutes.
Presentacion del libro de Fela Kuti espíritu indómito, con Sagrario Luna y DJ Floro
Córdoba, 16 de octubre de 2014. Sagrario Luna, autora de Fela Kuti, espíritu indómito,y Dj Floro, Sonideros-Radio 3, ambos fundadores de la Asociación AfrobeatProject junto a Javi Zarco, presentan hoy la primera biografía en español del músico nigeriano.
El acto consiste en una exposición oral de la autora, en la que mostrará un perfil del músico nigeriano a modo de historia comprimida, ilustrada musicalmente por Dj Floro, de una hora de duración aproximadamente. La presentación estará acompañada de una proyección de imágenes de Fela Kuti.
Esta actividad se incluye dentro de las FELABRATION, celebración del aniversario de Fela Kuti que el próximo 15 de octubre cumpliría 76 años, y que AfrobeatProject viene conmemorando desde hace casi una década en sintonía con la convocatoria internacional de la comunidad afrobeat. Una actividad que el Festival de Cine Africano de Córdoba ha querido acoger dentro de su programación.
Fela Anikulapo-Kuti murió en 1997 por una complicación derivada del Sida. Más de un millón de personas acudieron a rendirle el último adiós, incluidos algunos de los policías y militares que hicieron de su vida un infierno.
Estimulado por las ideas de liberación del hombre negro de Malcolm X y los Black Panthers, y el Panafricanismo de Kwame Nkrumah, Fela creó un estilo musical, elAfrobeat; concibió la contracultura africana; fundó una comuna, Kalakuta Republic; un club, The Shrine; un periódico, el YAP News, y un partido político, el MOP. Razones suficientes para que fuese perseguido.
Casi tres décadas de investigación y documentación ha empleado Sagrario Luna para construir la primera biografía en castellano sobre este icono musical universal llamado Fela Kuti. Trabajo que ha ido compaginando con labores de promoción de grupos, sellos discográficos, festivales y colaboraciones en prensa musical especializada. Anteriormente había firmado las dos primeras biografías, también en castellano, sobreThe Jam y The Clash.
A Dj Floro se le puede considerar como un dj sin fronteras, tanto en un sentido geográfico, como musical. Ama la Música y las Canciones, y no trata de parcelarlas ni separarlas, sino ser un mero transmisor de emociones, sensaciones, actitudes y sonoridades que vienen de las calles de cualquier ciudad del mundo, tanto del pasado, del presente o del futuro. Ha pasado por programas de radio como Trópico Útopico de Radio 3, Al Son de Cacique en Cadena 100 o Latido Global en Radio Gladys Palmera.
Actualmente participa en el programa Sonideros de Radio 3, todos los domingos de 19.00h a 20.00h, que ha entrado en su séptima temporada. Sus sesiones actuales son un viaje en el espacio y en el tiempo en las que prima el concepto de Canciones, con una mezcla de sonoridades y elementos de electrónica, afrobeat, asian, Brasil, África, Cuba, funk, drum ‘n’ bass, balkan, jazz, boogaloo, reggae, hip hop, latin… De las Raíces a los Cables.
Qué: Festival de Cine Africano de Córdoba
Dónde: Filmoteca de Andalucía, Casa Árabe, Vimcorsa
Fechas: del 15 al 19 de octubre de 2014
mercredi 15 octobre 2014
La mentira del Ebola denunciada por un Africano
Por el despertar de toda la humanidad, pues somos una familia que compartimos el mismo hogar/planeta, les pedimos que compartan esta información por todas las redes sociales, por mails, etc. Que llegue a todos para que las mentiras de los medios de desinformación masiva terminen con el montaje que ya ha quedado expuesto en videos que les hemos presentado y en informaciones de nuestra propia red ciudadana.
¡EL EBOLA ES UN SHOW MONTADO!
Ebo-Lie: El Ebola es una mentira
La gente en el Mundo Occidental necesita saber qué está ocurriendo aquí en Africa Occidental. ELLOS ESTÁN MINTIENDO!!! El “Ebola” como virus NO existe y NO se está “diseminando”. La Cruz Roja ha traído una enfermedad a 4 países específicos por 4 razones específicas y sólo es contraída por aquellos que reciben tratamientos e inyecciones por parte de la Cruz Roja. Por esa razón Liberianos y Nigerianos han comenzado a sacar a patadas a la Cruz Roja de sus países y a informar en las noticias la verdad. Ahora, síganme:
RAZONES
La mayoría de la gente salta a la “Despoblación”, lo que está sin duda en la mente de Occidente cuando vienen a Africa. Pero les aseguro que Africa NUNCA puede ser despoblada matando a 160 personas al día cuando miles nacen diariamente, así que las razones verdaderas son mucho más tangibles.
Razón 1:
Esta vacuna que implementó la enfermedad “llamada” Ebola fue introducida en Africa Occidental con el objetivo final de traer tropas a tierra en Nigeria, Liberia y Sierra Leona. Si recuerdan, estábamos recién tratando de agarrar a #MENTIRA “Boko Haram”, pero eso se cayó cuando los Nigerianos comenzaron a decir la verdad. NO EXISTEN NIÑAS PERDIDAS. El apoyo mundial se cayó por el piso y una nueva razón se necesitó para traer tropas a Nigeria y robar las nuevas reservas de petróleo que descubrieron......http://detenganlavacuna.wordpress.com/2014/10/14/detengan-la-mentira/
mardi 14 octobre 2014
NOTA DE PRENSA: Festival de cine africano de Cordoba 2014
|
vendredi 6 juin 2014
Obama pas bien protégé !
Une vidéo sur laquelle on voit le président américain Barack Obama, dans une salle de gymnastique en train de faire des levés de poids, a fait le buzz sur internet, ce mercredi.
Un client logeant dans le même hôtel que le président des USA, lors de sa visite officielle cette semaine à Varsovie, l’aurait enregistré.
La vidéo s’est propagée comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux depuis sa publication sur la toile.
Elle a suscité de nombreux commentaires sur l’efficacité des agents en charge de la protection du Président.
Aucun doute n’a été émis sur l’authenticité du fichier multimédia, puis que c’est le porte-parole du service secret américain, Ed Donovan, qui en a attesté.
Qu’adviendrait-il si c’était un terroriste qui occupait la place du client et qu’à la place de la caméra il plaçait un fusil ou une Bombe ?
mardi 27 mai 2014
Ma Famille : La Série à succès…et à mystères/ Serait ce le prix d'un pacte avec le ......?
« Ma Famille » est la sitcom ivoirienne qui a battu tous les records de
diffusions à l’international. Dans un passé récent, la série a donc fait
fureur. Et aujourd’hui encore, les envies de le déguster restent
vivaces. Tout comme l’espoir de revoir toute la bande bientôt sur la
lucarne magique.
Rien de tout cela ne relève du hasard. Et pour cause : la série est bonne. De l’histoire à la mise en scène en passant par les acteurs…La réalisatrice Akissi Delta a vraiment fait fort. « Ma Famille » sera l’un des programmes de divertissement phare des Ivoiriens, au plus fort de la crise de 2002. La série fait l’unanimité à chaque épisode, et s’expatrie même sur d’autres chaînes africaines et internationales.
Après quelques années de diffusion locale, c’est la fin. Sans que les téléspectateurs ivoiriens n’y soient préparés et/on en sachent les raisons. Avant que plus tard, les journaux ne révèlent une véritable crise dans l’équipe de la série. Les acteurs sont en désaccord avec la productrice Akissi Loukou Delphine.
Les versions divergent quant aux raisons. En tout cas, la déchirure est béante. La série passe encore sur les chaînes panafricaines, mais les tournages sont arrêtés. En Côte d’Ivoire, on est passé à autre chose au fil des années. Les plus nostalgiques se refont les épisodes sur les autres chaînes. Le chapitre du succès se referme là.
Puis, s’ouvre celui de notes plus tristes. En octobre 2011, les internautes découvrent, émus, la vidéo SOS de Brigitte Attiahi, épouse Bohiri venue du village. Elle a besoin d’aide pour lutter contre un cancer du sein qui finit par l’emporter en février 2012. Avant, une actrice, Marie Laure dans la série et Rosine Zouzouo à l’état civil, succombe à une longue maladie, en Octobre 2011. Les rumeurs la disaient séropositive.
Djangoné Elvis, gérant de cabine dans la même série, décède. Sa maladie avait atteint un niveau de gravité l’amenant à pisser des excréments. Le 3 juin 2013, c’est Tatiana de Mackensira qui part après que la maladie l’a rongée et rendue méconnaissable. Sur cette liste déjà longue dé disparus figuraient pourtant déjà, Carine Tazouhin la sœur de Decotey dans la série, Louise Babet, la fille de Gohou, Tantie Fatou, la mère de Digbeu et Bienvenue, Josiane Yapo, une des maîtresses de Bohirihttp://www.seneweb.com/news/People/ma-famille-la-serie-a-succes-hellip-et-a_n_126810.html
Rien de tout cela ne relève du hasard. Et pour cause : la série est bonne. De l’histoire à la mise en scène en passant par les acteurs…La réalisatrice Akissi Delta a vraiment fait fort. « Ma Famille » sera l’un des programmes de divertissement phare des Ivoiriens, au plus fort de la crise de 2002. La série fait l’unanimité à chaque épisode, et s’expatrie même sur d’autres chaînes africaines et internationales.
Après quelques années de diffusion locale, c’est la fin. Sans que les téléspectateurs ivoiriens n’y soient préparés et/on en sachent les raisons. Avant que plus tard, les journaux ne révèlent une véritable crise dans l’équipe de la série. Les acteurs sont en désaccord avec la productrice Akissi Loukou Delphine.
Les versions divergent quant aux raisons. En tout cas, la déchirure est béante. La série passe encore sur les chaînes panafricaines, mais les tournages sont arrêtés. En Côte d’Ivoire, on est passé à autre chose au fil des années. Les plus nostalgiques se refont les épisodes sur les autres chaînes. Le chapitre du succès se referme là.
Puis, s’ouvre celui de notes plus tristes. En octobre 2011, les internautes découvrent, émus, la vidéo SOS de Brigitte Attiahi, épouse Bohiri venue du village. Elle a besoin d’aide pour lutter contre un cancer du sein qui finit par l’emporter en février 2012. Avant, une actrice, Marie Laure dans la série et Rosine Zouzouo à l’état civil, succombe à une longue maladie, en Octobre 2011. Les rumeurs la disaient séropositive.
Djangoné Elvis, gérant de cabine dans la même série, décède. Sa maladie avait atteint un niveau de gravité l’amenant à pisser des excréments. Le 3 juin 2013, c’est Tatiana de Mackensira qui part après que la maladie l’a rongée et rendue méconnaissable. Sur cette liste déjà longue dé disparus figuraient pourtant déjà, Carine Tazouhin la sœur de Decotey dans la série, Louise Babet, la fille de Gohou, Tantie Fatou, la mère de Digbeu et Bienvenue, Josiane Yapo, une des maîtresses de Bohirihttp://www.seneweb.com/news/People/ma-famille-la-serie-a-succes-hellip-et-a_n_126810.html
vendredi 16 mai 2014
Le Venezuela expose son africanité
Le Venezuela expose son africanité
L’Ambassade du Venezuela à Dakar a organisé, mercredi 15 mai
2014, une série d’expositions des héros
et héroïnes vénézuéliens d’origine africaine.
Les douze figures, révolutionnaires, descendantes d’esclaves
ont constitué le décor de la grande salle de l’Ambassade vénézuélien sise à Stèle
Mermoz.
La première qu’on voit juste après celle du président
fondateur de la V République, Hugo Chavez, est celle de Francisca Paula
Aguado. Esclave, elle a bénéficié d’une charte de liberté de la part
de son maître le 12 janvier 1798. Une charte que l’héritier de son ancien patron
va refuser à la mort de celle-ci et qui mènera Francisca à aller devant la
justice pour réclamer son droit. Le
procès va durer un an. Mais elle a
fini par l’emporter le 9 août 1801. Un triomphe juridique qui va constituer un fait important dans le cadre de la lutte
contre l’esclavage.
En dehors de la justice, les descendants d’esclaves africains
ont également joué un rôle déterminant dans la lutte pour l’indépendance
vénézuélienne. Le portrait de Pedro Camejo l’atteste. Celui qui se faisait
appeler ‘’ Negro primero’’ (premier nègre)
s’était enrôlé dans l’armée des royalistes pour la cause
indépendantiste. Il est mort au champ de combat en 1821.
Hipolita Bolivar, mère allaitante de Simone Bolivar, Matea
Bolivar, José Léonardo Chirino entre autres figures marquantes ont permis au
public sénégalais de découvrir « une partie de l’africanité
vénézuélienne ». Une Africanité qui fait ‘’la fierté d’être vénézuélien’’,
dit le professeur Reinaldo Boliver.
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