mardi 9 décembre 2014

Magazine numero 5 et 6 des moments du sommet de la francophonie de Dakar

dimanche 30 novembre 2014

Les moments forts du 15 sommet de la francophonie de DAKAR

L´équipe des jeunes diplômés du Centre d´études des sciences et techniques de l´information ( CESTI ), dont je fais parti, a tenu à faire un magazine, quotidien des différentes activités déroulées lors de ce 15 sommet de la francophonie de Dakar, pour vous tous qui n´avez pas pu faire le déplacement jusqu’à Dakar.

Tout le plaisir est pour moi de vous offrir les 4  numéro de notre magazine ( le 5 et 6 sont à suivre) . Vos critiques et suggestions nous seront d´une grande utilité.


Michaëlle Jean : La Nouvelle secrétaire générale de l´Organisation internationale de le francophonie ( OIF )


La Canadienne d'origine haïtienne Michaëlle Jean succède à Abdou Diouf à la tête de               l´Organisation internationale de la francophonie après 12 ans de magistère.

 La candidate du Canada a été nommée nouvelle secrétaire générale de l´OIF par consensus.  53 pays membres, de plein droit de l'OIF, ont dit "oui " pour la porter a la tête de cette grande institution qui réunit 77 pays avec quelques 274 millions de citoyens francophones.

Michaëlle Jean sort ainsi vainqueure davantb Jean-Claude De L´Estrac de l´ìle Maurice, Pierre Buyoya du Burundi, Henri Lopes du Congo et Augustin Nze Nfumu de la Guinée Equatoriale.

 

samedi 22 novembre 2014

Les nouveaux supports d’information ne sont pas une menace pour les médias traditionnels

Le devenir  des médias était au cœur des débats d’un atelier, tenu, hier, vendredi 21 novembre 2014, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de certains panélistes, les nouveaux  supports ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.

 Les assises de l’Union de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias  traditionnels pour poser un problème réel qui les interpelle tous : « Quel avenir pour les médias traditionnels ».

«  Les annonceurs ne vont presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaissait le fruit de son travail, mais maintenant, c’est Google, Yahoo…. » S’est offusqué  Khalil Hachimi Idrissi.  Le journaliste, écrivain et poète Marocain, est convaincu que le modèle  économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation tragique.

«  Il  faut voir comment faire pour s’adapter sinon on va disparaître », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.

« Il y a une compatibilité entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles technologies.» a estimé  le président des éditeurs de presse.

RFI, radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent Africain. 

«  RfI est une vieille dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle donne du numérique.  Notre site internet reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique » a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.

Tous les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene










 Les nouveaux supports d’information ne sont pas une menace pour les médias traditionnels


Le devenir  des médias était au cœur des débats d’un atelier, tenu, hier, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de certains panélistes, les nouveaux  supports ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
 Les assises de l’Union de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias  traditionnels pour poser un problème réel qui les interpelle tous : « Quel avenir pour les médias traditionnels ».
«  Les annonceurs ne vont presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaisser le fruit de son travail, mais maintenant, c’est Google, yahoo…. » S’est offusqué  Khalil Hachimi Idrissi.  Le journaliste, écrivain et poète Marocain, est convaincu que le modèle  économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation tragique.
«  Il  faut voir comment faire pour s’adapter sinon on va disparaitre », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles technologies.» a estimé  le président des éditeurs de presse.
RFI, radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent Africain. 
«  RfI est une vieille dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle donne du numérique.  Notre site internet reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique » a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene










vendredi 21 novembre 2014

"On ne veut pas que le journal papier disparaisse"


Youssou Ndour a prononcé la conférence inaugurale de la 43ème édition des assises de l’Union de la presse francophone, ce jeudi 20 novembre 2014. Le lead vocale du « Super étoile » a saisi l’occasion pour parler des maux qui gangrènent la presse en général. Le patron du Groupe Futur Média  (GFM) a milité de nouvelles approches  afin d’assurer un futur prometteur au métier de journaliste.

L’artiste Sénégalais de renommée internationale, Youssou Ndour, n’est pas passé par quatre chemins pour exprimer son opinion sur le thème «  Jeunes et médias : les défis du numérique » ; thème principal de la  43ème édition des assises de l’Union de la presse francophone qui se déroulent actuellement à Dakar.
Le patron de GFM a estimé qu’il est, aujourd’hui, nécessaire  d’apporter de fortes mutations dans l’approche du métier de journaliste, au risque d’assister  à sa disparition.
«  On ne veut pas que le  journal  papier disparaisse comme le disque vinyle a disparu dans la musique à cause du numérique »  a déclaré Youssou Ndour.
Le lead vocal du « super étoile », sa bande musicale,  a salué l’initiative de la tenue  des premières assises du renouveau  de l’Union de la presse francophone ( Upf) dans la capitale Sénégalaise. Il a exhorté cette dernière à mettre un accent particulier sur la formation. 
« Les associations de presse comme l’Upf doivent aider leurs membres et privilégier la formation des jeunes journalistes pour un plus grand respect des règles d’éthique et de déontologie qui régissent ce métier ».
Cette formation est d’autant plus importante dans la mesure où, de l’avis de Youssou Ndour, on fait, actuellement, face à une bataille des contenus avec internet et  les technologies de l’information et de la communication.
« Il faut retourner les obstacles pour en faire des richesses » a suggéré le patron du groupe futur média.
Actuellement, Youssou Ndour est l’un des plus importants patrons de presse au Sénégal. Son entreprise (le Groupe Futur Média) compte plus de six cents employés.


Kodou SENE

mercredi 19 novembre 2014

43EME ASSISES DE LA PRESSE FRANCOPHONE: Un lieu de réflexion de d’échanges d’expériences journalistiques

De grandes figures du journalisme africain et mondial se sont réunies à Dakar pour assister à la 43ème  édition des assises de l’union de la presse francophone (UPF).  La rencontre s’est ouverte  aujourd’hui, mercredi 18 novembre 2014, au King Fahd Palace.

Tombé dans la léthargie depuis quelques années, l’Union de la presse francophone (Upf) renaît.

 Les assises de la presse francophone redémarrent  ses activités.  La capitale sénégalaise (Dakar)  abrite, du 19 au 22 novembre 2014, la 43ème  édition des assises de l’UPF. Une rencontre symbolique qui marque le renouveau de l’union de la presse francophone où sont attendus quelques trois cent participants.

«  Le lieu et les dates des assises n’ont pas été choisies au hasard » a confié le secrétaire général international  de l’UPF, Jean Kouchner. Selon ce dernier, Dakar est le lieu adéquat  pour la tenue de ces assises de l’UPF du fait  que la capitale sénégalaise est celle de toute la francophonie pour cette année 2014.

Le secrétaire général international  de l’UPF estime que la tenue de ces assises  à Dakar est un message fort lancé à l’endroit de tous les journalistes francophones ; afin que ces derniers apportent  leurs contributions dans ce renouveau de l’UPF.

A l’issue de la rencontre, «  il sera proposé aux assises de l’union de la presse francophone de rédiger un texte qui sera par la suite soumis au président de la République,  Monsieur Macky Sall pour qu’il le porte au XVème sommet de la francophonie (qui se tiendra à Dakar du 29 au 30 novembre) »  a assuré monsieur  Kouchner.

Un acte qui selon le journaliste collaborateur de France Télévision  va permettre d’élargir les actions de l’UPF à travers le monde entier.

Les assises de la presse francophone ont un représentant dans les trente-cinq pays membres de l’organisation. Cependant, c’est au siège central de la structure qui se trouve à Paris que  l’essentiel des décisions concernant l’association étaient prises ; mais aujourd’hui, l’UPF a décidé de rompre avec cette orthodoxie.

«  Il ne sera plus question de rapport France-Afrique au sien de l’organisation » a affirmé le secrétaire général international  de l’UPF, Jean Kouchner.

« Les sections décident désormais de ce qu’elles vont faire » a souligné monsieur Kouchner. Selon lui, le principal souci de l’UPF actuellement est de savoir comment faire pour aider les sections. 

 Première association internationale de journaliste, l’UPF compte deux cent cinquante adhérents dans le monde. Les dernières assises de l’union de la presse francophone remontent en juin  2010 à Rabat au Maroc.

Kodou SENE




jeudi 30 octobre 2014

Blaise Compaoré ENCORE un président AFRICAIN qui ratte sa sortie!

Le projet de loi annulé

Ce jeudi matin, les députés devaient examiner le projet de loi portant sur une révision de de l'article 37 de la Constitutionqui aurait permis la prolongation du mandat de Blaise Compaoré. Mais après l'incendie du Parlement, Alain Edouard Traoré, le porte-parole du gouvernement, a annoncé l'annulation du projet.  

L'Assemblée nationale saccagée

A Ouagadougou, plus d'un millier de jeunes ont réussi à pénétrer dans le bâtiment du Parlement et à le saccager, aux cris de "Libérez Kosyam", le nom du palais présidentiel. Aux abords de la présidence, plus au sud dans la ville, plusieurs centaines de manifestants faisaient face aux soldats de la garde présidentielle, qu'ils tenaient à distance. Certains soldats ont effectué des tirs de sommation au-dessus des protestataires...

Née sans jambes, abandonnée par ses parents, elle devient championne olympique

Jennifer Bricker est née sans jambes. Elle a été abandonnée par ses géniteurs à bas age à cause de sa malformation. Sharon et Gerald Bricker l´ont retrouvé et adopté par la suite. Le couple a décidé de l'éduquer au meme pied égalité que ses propres fils. Dans sa nouvelle famille, il était interdit de prononcer les mots `` je ne peux pas``. Regarde la vidéo et découvre la suite de cette rocambolesque histoire... 


 Jennifer Bricker nació sin piernas, y sus padres biológicos la abandonaron. Fue entonces cuando fue adoptada por Sharon y Gerald Bricker, quienes decidieron que criarla al igual que a todos todos sus hijos. Le dijeron que las únicas palabras que no estaban permitidas decir nunca era “no puedo”. Mira el video y descubre lo que paso…

vendredi 17 octobre 2014

La Radiotélévision Sénégalaise lance le 1er grand concours national de productions audiovisuelles



La Radiotélévision Sénégalaise lance le 1er grand concours national de productions audiovisuelles. Ce concours est ouvert à tous les sénégalais passionnés de théâtre et de cinéma évoluant en solo ou regroupés en associations culturelles et sportives, troupes ou compagnies théâtrales.
Le concours national est doté de cinq prix :
§ 1er Prix 2 000 000 de FCFA
§ 2ème Prix 1000 000 de FCFA
§ 3ème Prix 750 000 de FCFA
§ Prix du Public 250 000 FCFA
§ Prix d’Encouragement 250 000 FCFA
En outre, les œuvres jugées comme étant les meilleures par le comité restreint de sélection seront soumises à l’appréciation du publicà travers leur diffusion en prime time sur les antennes de la RTS 1 et 2 en vue du voting.
Une fois les films sélectionnés, le Jury composé de divers professionnels de l’audiovisuel et du milieu artistique et théâtral sénégalais choisira les œuvres finalistes. Le comité restreint de sélection des films et le Jury procéderont de façon parfaitement objective et professionnelle.
Les délibérations auront lieu au cours d’une grande soirée dénommée « Ça tourne AWARDS » qui marquera la finale du Concours.
L’objectif de ce concours est d’encourager les acteurs du théâtre et du cinéma à vivre leur passion et à donner une meilleure visibilité de leurs talents  sur la télévision nationale. La diversité et la pertinence des thèmes à développer dans les scenarii, favoriseront la promotion des valeurs socio culturelles positives et citoyennes, la sensibilisation et la communication sociale pour le changement de comportement.
Réglement concours national téléchargeable sur ce lien : Final concept concours Films
Spot concours national de production audiovisuelles sur la RTS « Ça tourne!»

L´endoctrinement et manipulation de l´esprit des enfants?

Prenez le temps de lire cette vidéo.

 Elle ne vous laissera pas indifférent (e).

Vous pourriez juger par vous même de la véracité  ou de la simple invention décrite dans ce contenu de dix minutes.


Presentacion del libro de Fela Kuti espíritu indómito, con Sagrario Luna y DJ Floro

Córdoba, 16 de octubre de 2014. Sagrario Luna, autora de Fela Kuti, espíritu indómito,y Dj Floro, Sonideros-Radio 3, ambos fundadores de la Asociación AfrobeatProject junto a Javi Zarco, presentan hoy la primera biografía en español del músico nigeriano.
 
El acto  consiste en una exposición oral  de la autora, en la que mostrará un perfil del músico nigeriano a modo de historia comprimida, ilustrada musicalmente por Dj Floro, de una hora de duración aproximadamente. La presentación estará acompañada de una proyección de imágenes de Fela Kuti.
 
Esta actividad se incluye dentro de las FELABRATION, celebración del aniversario de Fela Kuti que el próximo 15 de octubre cumpliría 76 años, y que AfrobeatProject viene conmemorando desde hace casi una década en sintonía con la convocatoria internacional de la comunidad afrobeat. Una actividad que el Festival de Cine Africano de Córdoba ha querido acoger dentro de su programación.
 
Fela Anikulapo-Kuti murió en 1997 por una complicación derivada del Sida. Más de un millón de personas acudieron a rendirle el último adiós, incluidos algunos de los policías y militares que hicieron de su vida  un infierno.
 
Estimulado por las ideas de liberación del hombre negro de Malcolm X y los Black Panthers, y el Panafricanismo de Kwame Nkrumah, Fela creó un estilo musical, elAfrobeat; concibió la contracultura africana; fundó una comuna, Kalakuta Republic; un club, The Shrine; un periódico, el YAP News, y un partido político, el MOP. Razones suficientes para que fuese perseguido.
 
Casi tres décadas de investigación y documentación ha empleado Sagrario Luna para construir la primera biografía en castellano sobre este icono musical universal llamado Fela Kuti. Trabajo que ha ido compaginando con labores de promoción de grupos, sellos discográficos, festivales y colaboraciones en prensa musical especializada. Anteriormente había firmado las dos primeras biografías, también en castellano, sobreThe Jam y The Clash.
 
A Dj Floro se le puede considerar como un dj sin fronteras, tanto en un sentido geográfico, como musical. Ama la Música y las Canciones, y no trata de parcelarlas ni separarlas, sino ser un mero transmisor de emociones, sensaciones, actitudes y sonoridades que vienen de las calles de cualquier ciudad del mundo, tanto del pasado, del presente o del futuro. Ha pasado por programas de radio como Trópico Útopico de Radio 3, Al Son de Cacique en Cadena 100 o Latido Global en Radio Gladys Palmera.
 
Actualmente participa en el programa Sonideros de Radio 3, todos los domingos de 19.00h a 20.00h, que ha entrado en su séptima temporada. Sus sesiones actuales son un viaje en el espacio y en el tiempo en las que prima el concepto de Canciones, con una mezcla de sonoridades y elementos de electrónica, afrobeat, asian, Brasil, África, Cuba, funk, drum ‘n’ bass, balkan, jazz, boogaloo, reggae, hip hop, latin… De las Raíces a los Cables.

 


Qué: Festival de Cine Africano de Córdoba
Dónde: Filmoteca de Andalucía, Casa Árabe, Vimcorsa

Fechas: del 15 al 19 de octubre de 2014     

mercredi 15 octobre 2014

La mentira del Ebola denunciada por un Africano










Tradujimos esta información que recién nos llegó de un Africano apodado “Nana Kwame“.
Por el despertar de toda la humanidad, pues somos una familia que compartimos el mismo hogar/planeta, les pedimos que compartan esta información por todas las redes sociales, por mails, etc. Que llegue a todos para que las mentiras de los medios de desinformación masiva terminen con el montaje que ya ha quedado expuesto en videos que les hemos presentado y en informaciones de nuestra propia red ciudadana.
¡EL EBOLA ES UN SHOW MONTADO!

Ebo-Lie: El Ebola es una mentira

La gente en el Mundo Occidental necesita saber qué está ocurriendo aquí en Africa Occidental. ELLOS ESTÁN MINTIENDO!!! El “Ebola” como virus NO existe y NO se está “diseminando”. La Cruz Roja ha traído una enfermedad a 4 países específicos por 4 razones específicas y sólo es contraída por aquellos que reciben tratamientos e inyecciones por parte de la Cruz Roja. Por esa razón Liberianos y Nigerianos han comenzado a sacar a patadas a la Cruz Roja de sus países y a informar en las noticias la verdad. Ahora, síganme:

RAZONES

La mayoría de la gente salta a la “Despoblación”, lo que está sin duda en la mente de Occidente cuando vienen a Africa. Pero les aseguro que Africa NUNCA puede ser despoblada matando a 160 personas al día cuando miles nacen diariamente, así que las razones verdaderas son mucho más tangibles.

Razón 1:


Esta vacuna que implementó la enfermedad “llamada” Ebola fue introducida en Africa Occidental con el objetivo final de traer tropas a tierra en Nigeria, Liberia y Sierra Leona. Si recuerdan, estábamos recién tratando de agarrar a #MENTIRA “Boko Haram”, pero eso se cayó cuando los Nigerianos comenzaron a decir la verdad. NO EXISTEN NIÑAS PERDIDAS. El apoyo mundial se cayó por el piso y una nueva razón se necesitó para traer tropas a Nigeria y robar las nuevas reservas de petróleo que descubrieron......http://detenganlavacuna.wordpress.com/2014/10/14/detengan-la-mentira/

mardi 14 octobre 2014

NOTA DE PRENSA: Festival de cine africano de Cordoba 2014

El FCAT acompaña sus proyecciones deactividades para profesionales, exposiciones, presentaciones y actividades paralelas para todos los públicos.

Córdoba, 12 de octubre de 2014. El Festival de Cine Africano de Córdoba-FCAT, vuelve del 15 al 19 de octubre con una edición no competitiva que incluirá cerca de 40 títulos y suma a su programación una serie de actividades que, un año más, complementan las proyecciones y dinamizan la participación ciudadana.

Desde el pasado lunes 6 de octubre y hasta el día 19 la sede cordobesa de Casa Árabe acoge la exposición del fotógrafo malagueño Javier Hirschfeld, Más Morena.Hirschfeld revisita en esta serie de fotografías la obra de Romero de Torres y plantea un paralelismo entre la cotidianidad senegalesa de la isla de Gorée y el costumbrismo del pintor cordobés a través de la figura de la mujer, en este caso africana. En ella se incluye la fotografía que ha servido de imagen para esta edición del FCAT, una reinterpretación de la obra Las hermanas de Santa Marina (1915), del pintor cordobés.
 
Como evento pre-festival, el martes 14 de octubre a las 22:00 en el Espacio Cultural Rey Heredia 22, se celebra un desfile de moda de la estilista cordobesa Paloma Povedano, que presentará la  Aliño African Collection. La colección está realizada utilizando tejidos wax africanos y sigue el concepto de Aliño de “Moda Simple”, ropa cómoda y sin tallaje industrial, realizada mediante procesos de confección artesanales.
 
En las mañanas del miércoles 15 al viernes 17 tendrá lugar el Foro de la Crítica de Cine: Cines de África en los tiempos transmedia, un encuentro profesional y formativo para críticos y periodistas culturales que quieran acercarse al mundo de los cines del continente vecino. Este encuentro se realiza en colaboración con el Programa ACERCA de Capacitación para el Desarrollo en el Sector Cultural de la AECID, la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo.
 
Entre el 15 y el 17 de octubre de 2014 se desarrollará el programa didáctico “Espacio Escuela”, que a partir de esta edición se denominará “cine para el diálogo” y que contará con la presencia y dinamización en algunas sesiones de la Escuela Halal gracias al apoyo del Instituto Halal. Consistirá en proyecciones matinales que se desarrollarán en la Filmoteca de Andalucía seguidas de actividades educativas, debates y cuentacuentos. En él participarán cerca de 1.400 estudiantes de primaria y secundaria de 17 centros educativos de la ciudad. Como complemento, el cuentacuentos franco-argelino Kamel Zouaoui representará Las aventuras de Nasruddine (a las 18:00 de miércoles al sábado) en el Hospital Universitario Reina Sofía, la Biblioteca Central, el Centro Social Rey Heredia, los jardines de la avenida de América y la Ciudad de los Niños (esta última el sábado 18 a las 12:00).
 
El jueves 16, a partir de las 21:00 el Bar Amapola acogerá la presentación la primera biografía en castellano sobre el multiinstrumentista y cantautor nigeriano, Fela Kuti, espíritu indómito. Sagrario Luna, autora del libro, realizará una exposición oral en la que mostrará un perfil del músico a modo de historia comprimida, ilustrada musicalmente por Dj Floro (Sonideros-Radio 3). La presentación estará también acompañada de una proyección de imágenes de Fela Kuti. Tras la presentación, sobre las 23.30h, el maestro Dj Floro ofrecerá una de sus sesiones musicales.
 
El viernes 17 a las 21:00 el antiguo Colegio Rey Heredia acogerá la película Come back Africa  gracias al equipo de CINECICLETA que volverá el sábado 18 a las 21:30, esta vez al Espacio Cultural Rey Heredia 22 donde se proyectarán los cortometrajesGaragouz y Les souliers de l´aïd. Las actividades de CINECICLETA se llevarán a cabo gracias al apoyo del Bar La Bicicleta y de los propios promotores de la actividad.

Todas las actividades son de libre acceso, excepto el Foro de la Crítica de Cine que requiere inscripción previa.
 
Qué: Festival de Cine Africano de Córdoba
Dónde: Filmoteca de Andalucía, Casa Árabe, Sala Vimcorsa
Fechas: del 14 al 19 de octubre de 2014
Más información: www.fcat.es

 
Contacto para prensa:
María José Martín
Tel.:  659 80 88 16
gabineteprensa@fcat.es

vendredi 6 juin 2014

Obama pas bien protégé !

 Une vidéo sur laquelle on voit le président américain Barack Obama, dans une salle de gymnastique en train de faire des levés de poids, a fait le buzz sur internet, ce mercredi. 

Un client logeant dans le même hôtel que le président des USA, lors de sa visite officielle cette semaine à Varsovie, l’aurait enregistré. 

La vidéo s’est propagée comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux depuis sa publication sur la toile.

 Elle a suscité de nombreux commentaires sur l’efficacité des agents en charge de la protection du Président. Aucun doute n’a été émis sur l’authenticité du fichier multimédia, puis que c’est le porte-parole du service secret américain, Ed Donovan, qui en a attesté.

 Qu’adviendrait-il si c’était un terroriste qui occupait la place du client et qu’à la place de la caméra il plaçait un fusil ou une Bombe ? 



mardi 27 mai 2014

Ma Famille : La Série à succès…et à mystères/ Serait ce le prix d'un pacte avec le ......?

« Ma Famille » est la sitcom ivoirienne qui a battu tous les records de diffusions à l’international. Dans un passé récent, la série a donc fait fureur. Et aujourd’hui encore, les envies de le déguster restent vivaces. Tout comme l’espoir de revoir toute la bande bientôt sur la lucarne magique.

Rien de tout cela ne relève du hasard. Et pour cause : la série est bonne. De l’histoire à la mise en scène en passant par les acteurs…La réalisatrice Akissi Delta a vraiment fait fort. « Ma Famille » sera l’un des programmes de divertissement phare des Ivoiriens, au plus fort de la crise de 2002. La série fait l’unanimité à chaque épisode, et s’expatrie même sur d’autres chaînes africaines et internationales.

Après quelques années de diffusion locale, c’est la fin. Sans que les téléspectateurs ivoiriens n’y soient préparés et/on en sachent les raisons. Avant que plus tard, les journaux ne révèlent une véritable crise dans l’équipe de la série. Les acteurs sont en désaccord avec la productrice Akissi Loukou Delphine.

Les versions divergent quant aux raisons. En tout cas, la déchirure est béante. La série passe encore sur les chaînes panafricaines, mais les tournages sont arrêtés. En Côte d’Ivoire, on est passé à autre chose au fil des années. Les plus nostalgiques se refont les épisodes sur les autres chaînes. Le chapitre du succès se referme là.

Puis, s’ouvre celui de notes plus tristes. En octobre 2011, les internautes découvrent, émus, la vidéo SOS de Brigitte Attiahi, épouse Bohiri venue du village. Elle a besoin d’aide pour lutter contre un cancer du sein qui finit par l’emporter en février 2012. Avant, une actrice, Marie Laure dans la série et Rosine Zouzouo à l’état civil, succombe à une longue maladie, en Octobre 2011. Les rumeurs la disaient séropositive.

Djangoné Elvis, gérant de cabine dans la même série, décède. Sa maladie avait atteint un niveau de gravité l’amenant à pisser des excréments. Le 3 juin 2013, c’est Tatiana de Mackensira qui part après que la maladie l’a rongée et rendue méconnaissable. Sur cette liste déjà longue dé disparus figuraient pourtant déjà, Carine Tazouhin la sœur de Decotey dans la série, Louise Babet, la fille de Gohou, Tantie Fatou, la mère de Digbeu et Bienvenue, Josiane Yapo, une des maîtresses de Bohirihttp://www.seneweb.com/news/People/ma-famille-la-serie-a-succes-hellip-et-a_n_126810.html

vendredi 16 mai 2014

Le Venezuela expose son africanité





Le Venezuela expose son africanité
L’Ambassade du Venezuela à Dakar a organisé, mercredi 15 mai 2014, une série d’expositions des  héros et héroïnes vénézuéliens d’origine africaine.



Les douze figures, révolutionnaires, descendantes d’esclaves ont constitué le décor de la grande salle de l’Ambassade vénézuélien sise à Stèle Mermoz.

La première qu’on voit juste après celle du président fondateur de la V République, Hugo Chavez, est celle de Francisca Paula Aguado.  Esclave, elle  a bénéficié d’une charte de liberté de la part de son maître le 12 janvier 1798. Une charte que l’héritier de son ancien patron va refuser à la mort de celle-ci et qui mènera Francisca à aller devant la justice pour réclamer son droit. Le  procès va durer un an. Mais  elle a fini par l’emporter le 9 août 1801.  Un  triomphe juridique qui va constituer  un fait important dans le cadre de la lutte contre l’esclavage.

En dehors de la justice, les descendants d’esclaves africains ont également joué un rôle déterminant dans la lutte pour l’indépendance vénézuélienne. Le portrait de Pedro Camejo l’atteste. Celui qui se faisait appeler ‘’ Negro primero’’ (premier nègre)  s’était enrôlé dans l’armée des royalistes pour la cause indépendantiste. Il est mort au champ de combat en 1821.  

Hipolita Bolivar, mère allaitante de Simone Bolivar, Matea Bolivar, José Léonardo Chirino entre autres figures marquantes ont permis au public sénégalais de découvrir « une partie de l’africanité vénézuélienne ». Une Africanité qui fait ‘’la fierté d’être vénézuélien’’, dit le  professeur Reinaldo Boliver.