Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, vendredi 21 novembre 2014, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaissait le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, Yahoo…. » S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaître », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
Les nouveaux supports d’information
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels
Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaisser le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, yahoo…. »
S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaitre », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
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