L´équipe des jeunes diplômés du Centre d´études des sciences et techniques de l´information ( CESTI ), dont je fais parti, a tenu à faire un magazine, quotidien des différentes activités déroulées lors de ce 15 sommet de la francophonie de Dakar, pour vous tous qui n´avez pas pu faire le déplacement jusqu’à Dakar.
Tout le plaisir est pour moi de vous offrir les 4 numéro de notre magazine ( le 5 et 6 sont à suivre) . Vos critiques et suggestions nous seront d´une grande utilité.
je suis journaliste. j aime aller à la rencontre des gens, communiquer avec eux et surtout partager le peu d´information que j´ ai avec les autres. Soyez tous les bienvenue sur mon blog qui est également le vôtre.
dimanche 30 novembre 2014
Michaëlle Jean : La Nouvelle secrétaire générale de l´Organisation internationale de le francophonie ( OIF )
La Canadienne d'origine haïtienne Michaëlle Jean succède à Abdou Diouf à la tête de l´Organisation internationale de la francophonie après 12 ans de magistère.
La candidate du Canada a été nommée nouvelle secrétaire générale de l´OIF par consensus. 53 pays membres, de plein droit de l'OIF, ont dit "oui " pour la porter a la tête de cette grande institution qui réunit 77 pays avec quelques 274 millions de citoyens francophones.
Michaëlle Jean sort ainsi vainqueure davantb Jean-Claude De L´Estrac de l´ìle Maurice, Pierre Buyoya du Burundi, Henri Lopes du Congo et Augustin Nze Nfumu de la Guinée Equatoriale.
samedi 22 novembre 2014
Les nouveaux supports d’information ne sont pas une menace pour les médias traditionnels
Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, vendredi 21 novembre 2014, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaissait le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, Yahoo…. » S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaître », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
Les nouveaux supports d’information
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels
Le devenir des médias était au cœur des débats d’un
atelier, tenu, hier, dans le cadre des 43emes assises de l’UPF. De l’avis de
certains panélistes, les nouveaux supports
ne sont pas une menace pour les médias traditionnels.
Les assises de l’Union
de la presse francophone ont servi de cadre aux journalistes des médias traditionnels pour poser un problème réel qui
les interpelle tous : « Quel
avenir pour les médias traditionnels ».
« Les annonceurs ne vont
presque plus sur les supports traditionnels. Avant l’éditeur encaisser le fruit
de son travail, mais maintenant, c’est Google, yahoo…. »
S’est offusqué Khalil Hachimi
Idrissi. Le journaliste, écrivain et
poète Marocain, est convaincu que le modèle
économique, actuel, du journalisme se trouve dans une situation
tragique.
« Il faut voir comment faire pour s’adapter sinon
on va disparaitre », a averti Khalil Hachimi Idrissi. Cette
adaptation pourrait selon Madiambal Diagne, journaliste Sénégalais, se traduire
par une plus grande ouverture aux nouvelles opportunités qu’offrent internet.
« Il y a une compatibilité
entre les anciens et les nouveaux médias. Il faut investir dans les nouvelles
technologies.» a estimé le président des éditeurs de presse.
RFI,
radio France internationale, a compris d’avance cette stratégie ; ce qui selon
sa directrice, lui a permis de garder sa place de leader sur le continent
Africain.
« RfI est une vieille
dame ; mais elle doit rester jeune fille. Elle s’est adaptée à la nouvelle
donne du numérique. Notre site internet
reçoit plus de deux millions de visites venant d’Afrique »
a révélé Cécile Mégie, directrice de la radio mondiale.
Tous
les participants à la réflexion ont été d’avis qu’internet contrairement à ce
que beaucoup croient, pourrait se révéler bénéfique pour les médias
traditionnels. Ils sont tous convaincus quoi qu’il en soit la radio, la
télévision et la presse écrite vont continuer à exister.
Kodou Sene
vendredi 21 novembre 2014
"On ne veut pas que le journal papier disparaisse"
Youssou Ndour a prononcé la
conférence inaugurale de la 43ème édition des assises de l’Union de la presse
francophone, ce jeudi 20 novembre 2014. Le lead vocale du « Super étoile » a saisi l’occasion pour parler des maux
qui gangrènent la presse en général. Le patron du Groupe Futur Média (GFM) a
milité de nouvelles approches afin d’assurer
un futur prometteur au métier de journaliste.
L’artiste
Sénégalais de renommée internationale, Youssou Ndour, n’est pas passé par
quatre chemins pour exprimer son opinion sur le thème « Jeunes et médias : les défis du
numérique » ; thème principal de la 43ème édition des assises de
l’Union de la presse francophone qui se déroulent actuellement à Dakar.
Le
patron de GFM a estimé qu’il est, aujourd’hui, nécessaire d’apporter de fortes mutations dans
l’approche du métier de journaliste, au risque d’assister à sa disparition.
« On ne veut pas que le journal papier disparaisse comme le disque vinyle a
disparu dans la musique à cause du numérique »
a déclaré Youssou Ndour.
Le
lead vocal du « super étoile »,
sa bande musicale, a salué l’initiative
de la tenue des premières assises du
renouveau de l’Union de la presse
francophone ( Upf) dans la capitale Sénégalaise. Il a exhorté cette dernière à mettre
un accent particulier sur la formation.
« Les associations de presse
comme l’Upf doivent aider leurs membres et privilégier la formation des jeunes
journalistes pour un plus grand respect des règles d’éthique et de déontologie
qui régissent ce métier ».
Cette
formation est d’autant plus importante dans la mesure où, de l’avis de Youssou
Ndour, on fait, actuellement, face à une bataille des contenus avec internet
et les technologies de l’information et
de la communication.
« Il faut retourner les
obstacles pour en faire des richesses » a suggéré le
patron du groupe futur média.
Actuellement,
Youssou Ndour est l’un des plus importants patrons de presse au Sénégal. Son
entreprise (le Groupe Futur Média) compte plus de six cents employés.
Kodou SENE
mercredi 19 novembre 2014
43EME ASSISES DE LA PRESSE FRANCOPHONE: Un lieu de réflexion de d’échanges d’expériences journalistiques
De
grandes figures du journalisme africain et mondial se sont réunies à Dakar pour
assister à la 43ème édition
des assises de l’union de la presse francophone (UPF). La rencontre s’est ouverte aujourd’hui, mercredi 18 novembre 2014, au
King Fahd Palace.
Tombé
dans la léthargie depuis quelques années, l’Union de la presse francophone (Upf) renaît.
Les assises de la presse francophone
redémarrent ses activités. La capitale sénégalaise (Dakar) abrite, du 19 au 22 novembre 2014, la 43ème
édition des assises de l’UPF. Une
rencontre symbolique qui marque le renouveau de l’union de la presse
francophone où sont attendus quelques trois cent participants.
« Le lieu et les dates des assises n’ont pas
été choisies au hasard » a confié le secrétaire général
international de l’UPF, Jean Kouchner.
Selon ce dernier, Dakar est le lieu adéquat
pour la tenue de ces assises de l’UPF du fait que la capitale sénégalaise est celle de
toute la francophonie pour cette année 2014.
Le
secrétaire général international de
l’UPF estime que la tenue de ces assises à Dakar est un message fort lancé à l’endroit
de tous les journalistes francophones ; afin que ces derniers
apportent leurs contributions dans ce
renouveau de l’UPF.
A
l’issue de la rencontre, « il sera
proposé aux assises de l’union de la presse francophone de rédiger un texte qui
sera par la suite soumis au président de la République, Monsieur Macky Sall pour qu’il le porte au
XVème sommet de la francophonie (qui se tiendra à Dakar du 29 au 30
novembre) » a assuré
monsieur Kouchner.
Un
acte qui selon le journaliste collaborateur de France Télévision va permettre d’élargir les actions de l’UPF à
travers le monde entier.
Les
assises de la presse francophone ont un représentant dans les trente-cinq pays
membres de l’organisation. Cependant, c’est au siège central de la structure
qui se trouve à Paris que l’essentiel
des décisions concernant l’association étaient prises ; mais aujourd’hui,
l’UPF a décidé de rompre avec cette orthodoxie.
« Il ne sera plus question de rapport
France-Afrique au sien de l’organisation » a affirmé le secrétaire
général international de l’UPF, Jean
Kouchner.
« Les sections décident désormais de ce
qu’elles vont faire » a souligné monsieur Kouchner. Selon lui, le principal
souci de l’UPF actuellement est de savoir comment faire pour aider les
sections.
Première association internationale de
journaliste, l’UPF compte deux cent cinquante adhérents dans le monde. Les dernières
assises de l’union de la presse francophone remontent en juin 2010 à Rabat au Maroc.
Kodou SENE
Inscription à :
Articles (Atom)