La capitale sénégalaise était à feu, dans la soirée de, ce Vendredi 27 janvier. Aprés l'annonce de la validation de la candidature trés contestée du président sortant M. Abdoulaye Wade par le conseil sonstitutionnel.
Les jeunes du M.23, mouvement de contestation à la candidature du président Wade, s'étaient rassemblés, ce vendredi, dés le matin à la place de l'Obélisque de Dakar, lieu habituel de leurs manifestations. Où ils attendaient la décision finale du conseil constitutionnel.
C'est aux alentours de 20 h que tout a dégénéré, aprés que les radios et télévisions du pays ont passé l'information relevant de la validation de 14 candidatures dont celle de Wade et de 3 retenues parmi lesquelles figure celle de l'artiste musicien Yousou Ndour. Dés lors, les dirigeants du mouvement qui pour la plupart sont des leardeurs de partis de l'opposition, ont pris la fuite, laisant les jeunes sur place. Ces derniers se sont par la suite dispersés dans les différents artères de la capitale. Ils ont brulé des pneus dans les rues et saccagé des boutiques.
L'Université Cheikh Anta Diop n'a pas été épargnée, la direction du centre des oeuvres universitaires de dakar (COUD) a été saccagée par les étudiants. Selon R. Nioukhi étudiante à la dite université, les policiers ont investi les lieux pour dispérser la foule. Le bilan fait état d'un mort à colobane et de plusieurs bléssées. D'aprés les informations données par un colonel de l'armée, il sagit d'un policier qui a rendu l'âme à la suite de bléssures causées par des jets de pierres, lors des confrontations avec les manifestants.
Les régions n'ont pas été en reste. A Thiés, les manifestants ont brulé des pneus dans les rues. Les loceaux de la radio diffusion nationale (RTS) ont subi la colère des manifestants à Kaolack. L'UE et les USA invitent le peuple sénégalais au calme et à prendre les voies légales pour faire recours. Le mouvement du 23 juin entend pas s'arrêter là. Son porte parole M. Abdoul Aziz Ndiaye s'est prononcé sur les ondes d'africa7, ce Samdi, disant que la lutte contunuera jusqu'à ce que le président retire sa candidature.
Oh, oh, las espirales de violencia son difícilmente controlables, la serie "acción-reacción" va "in crescendo" hasta que estalla la situación... Espero que en mi querido Senegal no pase eso, las autoridades muestren flexibilidad, los descontentos muestren responsabilidad, y se evite el estallido.
RépondreSupprimerAunque es difícil que estas situaciones, una vez comienzan, aunque sea de manera muy embrionaria, se desactiven.
ojala que todo vuelve a lo normal
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