Tout ce qui brille n’est
pas de l’or. Les vendeurs des bijoux en métal précieux en sont conscients. Ils
ont leurs astuces pour s’assurer qu’ils
vendent de l’or pur à leur clientèle, majoritairement composée de femmes. L’Or coûte cher et il faut des mains expertes
pour en faire un bijou.
je suis journaliste. j aime aller à la rencontre des gens, communiquer avec eux et surtout partager le peu d´information que j´ ai avec les autres. Soyez tous les bienvenue sur mon blog qui est également le vôtre.
jeudi 27 mars 2014
jeudi 20 mars 2014
Cárceles de tela negra / Prisons de voile noir
Ceci est un commentaire, en espagnol, écrit par Marta Parreno Gala, une journaliste et cinéaste espagnole. j'ai tenu à le traduire en français parce que tout au long du texte elle exprime une opinion personnelle qui pourrait, à mon avis, choquée certains (es) pour des raisons diverses. j'ai surtout tenu à le publier parce que les interrogations qu'elle se pose, en guise de conclusion, sont assez pertinentes ( à mon humble avis).
Vous trouverez le texte Original en dessous
18.03.2014 –
Une ombre noire lit un livre à travers une petite fenêtre qui lui sert
de fente pour respirer et d’ouverture au monde. Nous savons qu’il s’agit d’une femme parce
qu’un nombre restreint d’hommes, sur cette planète, seraient capable de
supporter cet habit avec la résignation avec laquelle le porte un millier de
femmes. Parce que se sont-elles qui doivent cacher leur corps, leur visage et
tout ce qui y est attrait dans un pays comme celui où la photo a été prise.
Parce qu’elles sont soumises à la dictature des lois sociales, morales et religieuses dictées par
eux (les hommes).
(Et nous le savons aussi parce qu’elle a les ongles émaillées
en rouge.)
L’ombre noire met de l’émaille rouge sur ses ongles et lit.
Mais elle se couvre en noir pour sortir dans la rue. Elle ne montre que ses ongles.
Qu’elles sont rares les fois que des mains aient exprimées autant.
J’ai (l’auteur du
texte) une réaction physiologique désagréable à la vue du niqab ou de la
burqa. J’ai la sensation que mes viscères se retournent. Je ne parviens pas à
comprendre. Je ne peux pas avec les prisons de voile, avec le nihilisme de l’identité
et de la personne elle-même.je ne peux pas voir une ombre noire sans aucun
droit à la communication naturelle avec ses semblables, hommes et femmes. Je ne
peux pas.
J’ai aussi une profonde nausée quand
je voix où nous en sommes actuellement, de l’autre côté du monde (il parle peut
être du mode vestimentaire en occident). Où la tyrannie est exercée par l’image et par
des femmes qui exhibent leur corps, se maquillent le visage et provoquent à longueur
de journée. Laquelle d’entre elles est
la plus libre ? il se peut que la
réponse ne soit pas aussi évidente ?
18.03.2014 – Una sombra
negra lee un libro a través de una ventana mínima que le sirve de respiradero y
de abertura al mundo. Sabemos que es una mujer porque pocos hombres en este
planeta serían capaces de soportar esa prenda con la resignación con la que la
visten miles de féminas. Porque son ellas las que tienen que esconder sus
cuerpos, sus rostros y todo lo que emane de ellos en países como el de la foto.
Porque está sometida a los dictados de leyes sociales, morales y religiosas
dictadas por ellos.
(Y también lo sabemos porque lleva las uñas pintadas de rojo.)
La sombra negra se pinta las uñas y lee. Pero se cubre de negro para salir a la calle. Sólo muestra las manos. Y qué pocas veces unas manos habían expresado tanto.
(Y también lo sabemos porque lleva las uñas pintadas de rojo.)
La sombra negra se pinta las uñas y lee. Pero se cubre de negro para salir a la calle. Sólo muestra las manos. Y qué pocas veces unas manos habían expresado tanto.
Tengo una reacción
fisiológica desagradable ante la visión del niqab o el burka. Se me retuercen
las vísceras. No logro entenderlo. No puedo con las cárceles de tela, con la
anulación de la identidad y de la persona. No puedo ver una sombra negra sin
derecho a la comunicación natural con sus semejantes, hombres y mujeres. No
puedo.
Pero también me entra una
nausea profunda al vernos aquí, en otra parte del mundo, donde la tiranía la
ejerce la imagen y las mujeres muestran sus cuerpos, maquillan sus rostros y
emanan sexualidad las 24 horas del día. ¿Quién es más libre? Quizás la respuesta no sea tan
evidente......
mercredi 19 mars 2014
Facebook : La menace
Une jeune Malgache s’est donnée la mort après avoir retrouvé des photos, de sa
page facebook, postées sur un site pornographique. Le témoignage
est de ses amies ( source RFI).....
Un drame qui interpelle tout utilisateur de réseaux sociaux en général et de facebook en particulier. Les avantages
qu’offre facebook ne sont plus à démonter. Cependant la prudence doit être de
mise sur ce réseau qui a fini de supprimer toutes barrières frontalières,
sociales, culturelles…
A présent nous
évoluons dans une société ou l’image revêt une importance capitale. Mais quand
certains, d’entre nous publient des photos et vidéos sur facebook, ils semblent
ignorer ce critère. Mais est ce qu’ils l’ignorent réellement ? Pas toujours.
Notre société connaît d’importants
bouleversements. La communication virtuelle se substitue petit à petit à celle qui s’établissait au sein des membres d’une
même famille. Les gens se confient plus à leurs « supposés » amis sur
facebook qu’ils ne le font avec leurs propres
parents.
On est arrivé à un moment où certains d’entre nous ont
besoins de voir des « J’aime » sur leur page d’accueil pour s’assurer
de leur « existence ». Cette dépendance peut passer inaperçue. Elle nous conduit à toujours vouloir faire plus
pour attirer l’attention sur notre personne. Des photos et vidéos intimes, que
jamais nous aurions imaginé faire encore moins publier pullulent sur les
réseaux sociaux. Plus les clics se multiplient
plus nous en postons de plus osées.
Nous nous donnons du plaisir à exprimer nos humeurs sur la
toile en espérant que quelqu’un nous réconforte. La sincérité des commentaires
sur notre photo ou vidéo importe peu. L’essentiel c’est d’en avoir. Comment en
sommes-nous arrivés à ce point ?
Le temps ne serait-il pas venu de prendre du recul par
rapport aux contenus des publications que nous faisons sur facebook et sur
les autres réseaux sociaux?
Inscription à :
Articles (Atom)